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Le Shabatt dans le judaïsme :
l’accueil, le "kidouche", les "halotes"


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Sommaire :
1 - L'accueil du Shabatt (chabbat)
2 - Le "kidouche" juif du Shabatt
3 - Les "halotes" juives du Shabatt
4 - Questions et réponses
Le sujet 3, les "halotes", est le plus développé. Il est suivi de questions et réponses s'y rapportant.



1- L'accueil du Shabatt.
Quelques mots sur l’accueil du Shabatt dans le judaïsme.
D’abord, que nous demande la Tora ?
Dans l’ordre du texte :
Exode, 20, 7 ou 8 (selon les éditions) :
זכור את יום השבת לקדשו
"Souviens toi
(ou "commémore" ou "rappelle", ou encore "pense", selon les traductions)
du jour du Shabatt pour le sanctifier"

La répétition de ce commandement, en Deutéronome, emploie un autre verbe. En Deutéronome, 5, 11 ou 12 (selon les éditions), est écrit :
שמור את יום השבת לקדשו
"Garde
(ou "conserve" ou "observe", ou encore "perpétue", selon les traductions)
le jour du Shabatt pour le sanctifier"

De ces deux verbes différents, le judaïsme en a tiré un rituel insensé que ne demande pas la Tora. Le judaïsme fait allumer deux bougies, ou deux flammes de mèches à huile.
Voyez-vous un rapport, une corrélation entre la Tora et le rituel juif ? Non ?
Vous pensez que ce n’est pas clair du tout ? Que c'est rès loin d’être évident ?
Vous avez raison.
Il n’y a aucun rapport, sinon celui ou ceux que le judaïsme a inventés par des interprétations et paraboles niaises que le judaïsme fait "gober" aux crédules qui croient inconditionnellement, sans s'interroger le moins du monde sur ce qui leur est affirmé.
Ce rituel n’existait pas à l’époque de Moïse. Ce rituel n’est pas demandé par la Tora.
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*** Autres études ***



2 - Le "kidouche" juif.
Quelques mots sur le "kidouche" du Shabatt (et jours de fête) dans le judaïsme.
Que signifie "kidouche" ? C'est un terme du judaïsme, que vous ne trouverez pas dans la Tora. Sa signification est "sanctification".

Que nous demande la Tora ? Dans l’ordre du texte : ce sont les mêmes versets que ci-dessus.
La Tora nous demande de sanctifier le Shabatt (mais sans employer le mot קידוש "sanctification" connu dans le judaïsme). Alors, comment sanctifier le Shabatt ?
C’est très simple : le Shabatt est sanctifié en respectant ce que la Tora nous demande pour ce jour.
La Tora nous demande essentiellement deux choses :
- Ne pas faire de מלאכה "production" / "fabrication". Cliquez ici
- Faire une lecture de texte appropriée, une lecture de Tora. Cliquez ici
Ainsi est sanctifié le Shabatt.
En vous abstenant de faire une מלאכה "production" / "fabrication", en souvenir (זכור) de la Création faite en 6 jours, et en lisant quelque peu la Tora, ainsi vous sanctifiez le Shabatt comme la Tora l’a demandé.
A chaque fois que vous vous abstenez de faire une מלאכה "production" / "fabrication", alors que vous l'auriez faite durant les six autres jours de la semaine, vous faites ainsi un acte de sanctification.

NB : lisez la Tora, pas les égarements rabbiniques diffusés dans tant d’ouvrages et que tant de rabbins et adeptes prétendent être une "étude de la Tora".
La Tora, c’est le ‘Houmach, en français le Pentateuque, pas les ouvrages rabbiniques qui perdent les esprits.

Sanctifier le Shabatt. Qu’a compris le judaïsme ?
Pour sanctifier le Shabatt, le judaïsme fait une "prière" de ses inventions, sur une coupe de vin.
Le judaïsme a nommé "kidouche" ce rituel, soit en français la "sanctification".
Il faut vraiment être imbécile et ne rien comprendre au texte pour inventer une telle imbécillité.
La Tora n’en demande rien. Ce n’est pas ainsi que le Shabatt est sanctifié.
Ce rituel, "kidouche", n’existait pas à l’époque de Moïse. Ce rituel, "kidouche", n’est pas demandé par la Tora.
Des millions, des milliards de "kidouches" ne sanctifient en rien le Shabatt. Au contraire, ils profanent le Shabatt parce que c’est une invention, un culte que la Tora ne demande pas.
Respectez ce que demande la Tora, et vous aurez ainsi sanctifié le Shabatt sans aucun "kidouche".

En outre, néanmoins de plus, une personne m'a fait observer que ce rite juif, en lequel sont partagés le pain et le vin avec les personnes présentes, est très proche, voire identique à la Cène (dernier repas de Jésus avec ses apôtres), et que l'on retrouve dans l'Eucharistie chrétienne.
(Le pain dont il est question est celui des "halotes". Cliquer ici ).
Tout cela est totalement hors Tora. Ce n'est pas la religion d'Israël.

Abstenez vous de vous prostituer au culte juif. ("Prostituer" est le terme employé par la Tora s'agissant d'un culte profane, une religion étrangère ou profane. Par exemple, en Exode, chap. 34, v. 15 ; Nombres, chap. 25, v. 3. Dans la Bible, Juges, chap. 2, v. 17, entre autres références).
Observez la Tora. Deux mille ans de judaïsme ont perdu le peuple d’Israël.
Deux mille ans de judaïsme n’ont apporté au peuple d’Israël qu’exil, persécutions et tourments.
Il est temps, grand temps que cela cesse !
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*** Autres études ***



3 - Les "halotes" juives pour le Shabatt.
Après les deux sujets abordés précédemment, l'accueil du Shabatt dans le judaïsme et le "kidouche" dans le judaïsme, ce troisième sujet traite des חלות "halotes du Shabatt" dans le judaïsme.
Définissons un peu de vocabulaire auparavant :

- Que veut dire חלות "halotes" ?
C’est le pluriel de חלה "hala" (parfois écrit "halah", "hallah", bien que le H final n’ait aucune utilité, et bien que le doublement du L n’ait aucune raison).

- Que veut dire חלה "hala" ?
C’est une préparation faite de farine, comme l'est le pain.
Une "hala" est comme un pain, une sorte de pain, mais il y a une différence importante avec le pain. Cette différence est expliquée en ce qui suit.

Nous avons vu deux mots, חלה "hala" et son pluriel חלות "halotes".
Un troisième est important dans cette étude (résumée). C'est le mot לחם "léhèm" qui veut dire "pain".

Dans la Tora, certains versets nous donnent des informations claires, explicites et importantes. Par exemple :
En Exode, chap. 29, v. 2, nous comprenons qu’une "hala" est pétrie à l’huile.
En Lévitique, chap. 2, v. 4, nous observons et apprenons la même chose : une "hala" est pétrie à l’huile.
Cela se retrouve encore en Lévitique, chap. 7, v. 12 : une "hala" est pétrie à l’huile.
C’est encore écrit en Nombres, chap. 6, v. 15 : une "hala" est pétrie à l’huile.

Une "hala" est pétrie à l’huile. C’est clair.
Des "halotes" sont donc pétries à l’huile. C’est une déduction évidente.
Lorsque la Tora parle de חלה "hala" ou חלות "halotes", il s’agit d'un pétrissage à l’huile. C’est très clair, et cela apparaît plusieurs fois dans la Tora (par exemple, en Lévitique, chap. 2, v. 4 סלת חלות מצת בלולת בשמן).
Souvent, les "halotes" sont demandées מצות "azymes" (pâte non levée). Mais ce n'est pas toujours le cas (par exemple, en Lévitique, chap. 24, v. 5 ולקחת סלת ואפית אתה שתים עשרה חלות).

Ainsi, c’est donc clair et simple :
- Le pain לחם "léhem" est pétri à l'eau (comme tout le monde le sait).
- Les חלות "halotes" sont pétries à l'huile. Il s'agit probablement d’huile d'olive, car c'était probablement la seule huile alimentaire employée à l’époque biblique. C'est aussi la seule huile qui est explicitement citée dans la Tora.

Ainsi, je l’ai plusieurs fois écrit, et c’est plusieurs fois écrit dans la Tora :
- Une חלה "hala" est pétrie à l’huile.
- Les חלות "halotes" sont pétries à l’huile.
C’est très clair, sauf pour le judaïsme (lire la suite).

Nous avons donc vu et défini trois mots, et aussi établi ce qui les différencie.
A présent, que demande la Tora concernant les "halotes" et le Shabatt ?

- ויקרא Lévitique, chap. 24, v. 5 :
ולקחת סלת ואפית אתה שתים עשרה חלות
"Tu prendras de la fine farine et la cuiras (au four) en douze "halotes"

- ויקרא Lévitique, chap. 24, v. 8 :
ביום השבת ביום השבת יערכנו לפני יהוה תמיד מאת בני ישראל ברית עולם
"A chaque jour de Shabatt, elles (les halotes) seront alignées devant l’Éternel,
toujours de la part des enfants d’Israël, en alliance éternelle"

Ce qui précède est donc court, simple et clair. La Tora demande douze "halotes" pour chaque Shabatt. C’est tout.

Comparons alors avec ce que fait, explique, prétend, etc. le judaïsme (qui fait n’importe quoi). Avec le judaïsme, hélas, les confusions règnent, et clarifier n’est pas aisé. Un effort de compréhension vous est donc demandé.

- Le judaïsme ne demande pas douze "halotes" pour le shabatt comme le demande la Tora, mais deux de ses "halotes" (qui sont ainsi appelées, mais ne sont pas des "halotes").
Ce chiffre, deux, n’a pas de fondement dans la Tora, mais uniquement dans les élucubrations et interprétations du judaïsme. Pour le judaïsme les "halotes" sont comme la manne. C'est une première confusion des mots et sens. Les mots "pain", "manne" et "halotes" sont amalgamés. Ainsi, parce que la manne tombait double avant le Shabatt (selon certaines idées fausses dans le judaïsme), les deux "halotes juives" symbolisent ce doublement.
Mais, la manne ne tombait pas en double quantité. Selon l’Exode, chap. 16, v. 22, elle était récoltée en double quantité.
Surtout, la manne est la manne, les "halotes" sont des "halotes". Les "halotes" ne sont pas de la manne.
Le judaïsme a écarté la Tora qui demande douze "halotes", pour remplacer la Tora par ses extravagances interprétatives et symboliques.
Une autre raison, aussi insensée, explique le chiffre "deux". Cette raison se trouve dans le passage communément connu sous le nom de "dix commandements". En Exode, chap. 20, v. 7, le texte est :
זכור את יום השבת
"Souviens-toi (ou commémore) le jour du Shabatt"
La répétition de ce passage en Deutéronome, chap. 5, v. 11 (ou 12 selon les éditions), donne un texte légèrement différent :
שמור את יום השבת
"Garde (ou conserve) le jour du Shabatt"
De cette différence, de ces deux versions, "souviens-toi" et "garde", le judaïsme a émis de nombreux commentaires, interprétations, paraboles, etc. et en a déduit et déclaré que le texte demanderait d’allumer deux petites flammes (par exemple deux bougies) avant le Shabatt, et deux "halotes" pour le jour du Shabatt. (Pour rappel, ce que le judaïsme appelle "halotes" ne sont pas des "halotes"). Pour le judaïsme, il y a donc deux flammes, et deux "halotes", pour les deux versions du texte biblique.
Or, le texte biblique ne demande pas du tout cela.
Expliquer et défaire l’inextricable tissu de stupidités du judaïsme est très vaste et compliqué. Les explications pour ce chiffre "deux" s’arrêteront là. Poursuivre des explications sur ce qui est insensé n’a pas plus de sens.

- Le judaïsme ne demande pas que "ses halotes" soient pétries à l’huile. La Tora est ignorée.

- Selon la Tora, les "halotes" doivent être consommées par un Cohen en état de pureté et en lieu pur (Lévitique, chap. 24, v. 9). Le judaïsme en fait totale abstraction.

- Le judaïsme ne les fait pas consommer par un Cohen exclusivement (ou plusieurs Cohanim). Le judaïsme partage "ses halotes" (en fait des pains, voire plutôt des pâtisseries) entre tous les Juifs présents dans l'assistance, Cohen ou non. Or, nul profane n’est admis à consommer ce qui est réservé aux Cohanim (Lévitique, chap. 22, v. 10).

- Le judaïsme a plus d’une recette pour ce qu’il appelle à tort des "halotes". Ces recettes sont toutes des pâtes levées. Aucune recette codifiée, "officielle", "formelle", n’existe.

- Il n’y a pas de recette fixée ou déterminée. Cependant certaines règles, de certains dirigeants du judaïsme, insistent pour un pétrissage à l’eau, demandant parfois un peu d'huile.

- En effet, certaines recettes juives incorporent parfois un peu d’huile ou d’huile d’olive, bien que rien ne soit défini. Dans le judaïsme toute huile alimentaire est acceptable. On ne sait pas toujours quelle huile est demandée ou employée, ni en quelle proportion.

- Les "fausses halotes" du judaïsme peuvent incorporer, selon les recettes, des œufs, du miel et d’autres ingrédients (des graines de sésame ou de pavot, du sucre, du sel, du jaune d’œuf, de la cannelle, du zeste ou jus d'orange ou de citron, de l'extrait d'amandes amères, de l'eau de fleurs d'oranger ("mazor" ou "mey-zar"), des raisins secs, parfois des morceaux de pomme, etc. Les ingrédients varient selon les origines, ashkénazes ou séfarades, et selon les pays, voire selon les villes, voire encore selon les familles).
Heureusement, et sauf erreur, aucune recette n'incorpore de lardons ou autres morceaux de cochon. Lorsque vous aurez fini de lire et compris cette étude, vous comprendrez aussi que cette plaisanterie n'est pas si absurde.

A la seule observation des quelques éléments et remarques qui précèdent, et avec un peu de réflexion, il apparaît déjà que le judaïsme divague totalement. Or, la Tora ne tolère pas d'écart. Une personne connaissant la Tora sait qu'il faut respecter rigoureusement ce qui est demandé, ou S'ABSTENIR si l'on ne peut appliquer un commandement.
En aucun cas il ne faut inventer et/ou faire n'importe quoi.
Car, comment l’Éternel pourrait-il agréer ce qu'il n'a pas demandé ?
Comment pourrait-il accepter des extravagances, des fantaisies ?
Comment pourrait-il bénir ces rites qui ne lui obéissent pas, mais dévient ?
Il est déjà clair que la cause du retrait divin se trouve dans de telles raisons, dans le judaïsme.
Hélas, tout n'est pas dit à propos du judaïsme et le sujet occurrent des "halotes" du Shabatt.

Dans le judaïsme encore :
Le judaïsme compare la table de tout Juif à l’Autel des sacrifices, qu’il s’agisse des repas du Shabatt ou de tout autre repas ordinaire. La Tora ne fait absolument pas une telle comparaison.
Voici quelques exemples d’imbécillités que l’on peut lire ou entendre dans le monde juif :

Début de citations (certaines sont recopiées de "choulkhane aroukh" abrégés, qui sont des ouvrages du judaïsme rabbinique).

- "le repas c'est une Mitsva et la table familiale elle est érigée en autel"

- "depuis la destruction du Temple nos tables remplacent l'Autel d'autrefois, et que c'est avec ce même recueillement qu'un juif doit se mettre à table."

- "Votre table c'est l'autel et c'est vous le grand prêtre. Avant de manger vous devez faire nétillhath yaddayimh le lavage rituel des mains pour vous rendre pur. Vous avez aussi l’obligation de manger la tête couverte d’une kippa ou d’un couvre chef. Les femmes ne doivent pas toucher le vin. Une femme ne doit pas ouvrir la bouteille, sauf pour elle même et d’autres femmes. Les femmes peuvent boire mais pas servir le vin sauf pour servir une autre femme."

Fin de citations.

Ce sont des imbécillités parce que ces déclarations n’ont pas de fondement dans la Tora. La table et les repas ordinaires du peuple ne sont pas l’Autel.
Tout individu n’est pas un כהן Cohen "Prêtre", encore moins le כהן הגדול Grand-Prêtre.
L’ablution rituelle juive des mains n’a pas non plus de fondement dans la Tora. Ce rituel est inventé, comme d’innombrables autres choses dans le judaïsme. La liste en est trop longue. Démentir toutes les imbécillités du judaïsme est interminable. C’est une perte de temps.

Rappels :
La table et les repas du peuple d'Israël ne sont pas l'Autel des sacrifices. Il en est de même pour les repas du Shabatt : ils ne sont pas l'Autel des sacrifices.
Le judaïsme partage ses "halotes du Shabatt" entre tous les Juifs dans l'assistance. Cette table, sacrée selon le judaïsme, serait comme l'Autel des sacrifices selon le judaïsme. Or :

- Dans la Tora, miel et pâte levée ne doivent pas être offerts sur l’Autel (Lévitique, chap. 2, v. 11). Les recettes du judaïsme peuvent incorporer du miel, et pratiquement toutes les recettes sont des pâtes levées.

- Dans la Tora, ce qui était destiné à l’Autel (lorsqu'il y en avait un) devait être consommé par les כהנים Cohanim (les Prêtres), uniquement eux, c’est clairement écrit en Lévitique, chap. 24, v. 9.
Or, dans le judaïsme, toute personne juive peut consommer ce pain juif appelé à tort "halotes", un pain juif qui ne correspond à rien, mais qui est censé être "sacré" et "pour l'Autel".

- Dans la Tora, les כהנים Cohanim (les Prêtres) doivent être en état de pureté (Lévitique, chap. 22, v. 1-3).
Dans le judaïsme pur ou impur n’est pas distingué (selon le judaïsme, tout le monde serait impur de nos jours, même après l'ablution rituelle juive des mains, qui, donc, ne sert à rien).
Le judaïsme ne distingue même pas les Cohanim des autres Israélites. Pour rappel : ce pain juif est partagé entre tous les Juifs présents, et après partage il est consommé par tous, Cohen ou pas, en état de pureté ou pas.

Le rite juif n’a aucun sens. Il ne correspond pas à la Tora.
Le rite juif est constitué d'inventions, d’absurdités. Le tout est opposé à la Tora.

La Tora est stricte, rigoureuse et précise. Qui aurait fait autre chose aux abords de l’Autel encourait la mort. Ce fut le cas de deux des fils d’Aaron : Nadav et Abihou, morts pour avoir apporté un feu profane, c’est à dire différent de ce que Dieu avait demandé (Lévitique, chap. 10, v. 1-2).
Ce que fait et fait faire le judaïsme, avec ses comparaisons, ses inventions invraisemblables, irresponsables, sont autant de profanations du Shabatt, comme l'était le feu profane apporté par Nadav et Abihou.

Les rites du judaïsme sont basés sur des interprétations, des inventions ridicules, et des recettes profanes que la Tora n’a pas demandées.
Parce que ces rites recettes, etc. sont inventés, donc profanes, ils outragent le Shabatt.
Le judaïsme profane le Shabatt avec ses "halotes", ses "pains de Shabatt" sur lesquels des prières sont dites, s'adressant à Dieu, et au nom de Dieu, comme si Dieu avait demandé tout cela. Mais, il n’en est rien. A l'opposé de la Tora et de la volonté divine, les pains du judaïsme sont des déviances, entre autres déviances.
En effet, qu’il s’agisse des "halotes" ou de nombreux autres sujets, par toutes ses inventions le judaïsme outrage l’Éternel, outrage et profane le Shabatt, outrage le peuple d'Israël, égare le peuple d'Israël et lui fait grand tort.

En ce sujet des "halotes du judaïsme" pour le Shabatt, il existe d’autres confusions et/ou déformations dans le judaïsme.
Dénouer toutes les confusions semées par le judaïsme et clarifier la situation n’est pas chose facile. C’est pourquoi il faut prêter attention à ce qui suit afin de bien comprendre.

Confusion et/ou déformation du sens du mot חלה "hala" :
Outre le Shabatt, en d'autres circonstances le judaïsme parle aussi de "prélever la hala".
Parmi les non hébraïsants (voire parmi certains hébraïsants), dans la francophonie et dans d’autres langues, beaucoup de personnes connaissent ces termes ("prélever la hala", "prélèvement de la Hala") grâce aux paquets de "matsotes" (pains azymes, pains non levés). En effet, sur ces paquets commerciaux est imprimée la mention "la hala a été prélevée".
Ainsi, dans bien des esprits, la "hala" est le "prélèvement" d’une petite partie de pâte prise d’une grosse pâte (de plus de 1,6 kilo environ selon les règles du judaïsme).
Or, une חלה "hala" n’est pas n’est pas une partie prélevée ou à prélever.
Une חלה "hala" n'est pas une pâte.
Une חלה "hala" est une sorte de pain, un produit fini, pas la pâte d'un pain en élaboration. Une חלה "hala" est une sorte de pain pétri à l’huile. Ce pétrissage à l’huile est quasiment ignoré dans le monde juif.
De plus, le judaïsme a aussi codifié le volume de cette partie "prélevée" sur une plus grosse : la partie prélevée, trop souvent appelée à tort "la hala", doit être de la taille d’un œuf. C’est encore pure et totale invention, sans aucun fondement dans la Tora.
Le judaïsme a donc aussi déformé, détourné le sens de ce mot, "hala", en lui attribuant ce sens de "prélèvement", en précisant en plus que ce "prélèvement" doit être "de la taille d’un œuf".

Rappel : une "hala" est une sorte de pain pétri à l’huile. Ce n’est pas un "prélèvement".
Dans le judaïsme, "hala" a pris le sens de "partie prélevée".
Reformulation résumée : dans le judaïsme la petite partie de pâte ôtée d’une plus grosse est nommée "hala". Or, une partie de la taille d’un œuf n’est pas une "hala", n’est pas un "pain", et, de plus, ce "pain" n’est pas fait à l’huile dans le judaïsme.

D’où vient cette confusion ? Elle provient d’un passage mal compris, certainement mal appliqué par le judaïsme. Observons-le. Ensuite, nous observerons ce qu’en a fait le judaïsme.

Que demande la Tora ?
Outre les douze "halotes" pour le Shabatt, en plus de ces douze "halotes", la Tora demande :
Nombres, chap. 15, v. 19-21 :
והיה באכלכם מלחם הארץ תרימו תרומה ליהוה ראשית ערסתכם
חלה תרימו תרומה
כתרומת גרן כן תרימו אתה
מראשית ערסתיכם תתנו ליהוה תרומה לדרתיכם
Avant de passer à la traduction de ce passage, un mot doit être défini, plutôt redéfini. C’est le mot ערסתכם "arissot'hem" (orthographié plus loin ערסתיכם). Les traductions traditionnelles (en français et d’autres langues) l’ont toujours traduit par "pâte" (comme la pâte à pain). Or, en y prêtant attention, ce sens de "pâte" est difficilement possible.
Voici la traduction de ce passage avec le mot "pâte" :

והיה באכלכם מלחם הארץ תרימו תרומה ליהוה ראשית ערסתכם
חלה תרימו תרומה
כתרומת גרן כן תרימו אתה
מראשית ערסתיכם תתנו ליהוה תרומה לדרתיכם
"Alors, lorsque vous mangerez du pain du pays (Israël), vous ferez un prélèvement pour l’Éternel, prémices de vos pâtes.
Une "hala" (un pain pétri à l’huile) vous prélèverez.
Comme le prélèvement de ce que vous engrangez, ainsi vous la prélèverez (la "hala").
Des prémices de vos pâtes vous offrirez à l’Éternel, prélèvement pour vos générations."

A la lecture de cette compréhension et cette traduction, il semblerait qu’une partie de pâte fraîche, non cuite, était à transporter jusqu’au Tabernacle ou au Temple, pour être ainsi offerte aux כהנים Cohanim en l’état, soit non cuite.
Mais, c’est peu vraisemblable. Car, un tel pâton n’aurait pas tenu longtemps et serait probablement arrivé dans un état lamentable (desséché, voire avarié, sans parler d’hygiène). Une telle offrande de pâte non cuite est difficilement concevable.
De plus, en hébreu biblique, une pâte se dit בצק "bétsèk" (parfois vocalisé "batsèk"). Ce mot se trouve, par exemple, en Exode, chap. 12, v. 34 et 39 ; Samuel 2, chap. 13, v. 8.
Cette réflexion conduit à devoir retrouver le vrai sens du mot ערסתכם "arissot'hem" (écrit ערסתיכם "arissotey'hem" ensuite). Cependant, ce terme n’apparaît pas souvent dans la Bible. Il est donc difficile de le cerner avec certitude.
Restant dans le domaine des récoltes et prémices, du pain et de la "hala", le mot ערסתכם "arissot'hem", ne désignerait pas une "pâte", mais plutôt un produit fini, un produit de fournée, un produit prêt à être offert et consommé.
Le sens vraisemblable ne serait donc pas "pâte non cuite". Le mot ערסתיכם "arissotey'hem" désignerait donc plutôt "la boulange", le produit fini de la fournée, après fournée.
Revoyons cette hypothèse dans le passage occurrent :
Nombres, chap. 15, v. 19-21 :

והיה באכלכם מלחם הארץ תרימו תרומה ליהוה ראשית ערסתכם
חלה תרימו תרומה
כתרומת גרן כן תרימו אתה
מראשית ערסתיכם תתנו ליהוה תרומה לדרתיכם
"Alors, lorsque vous mangerez du pain du pays (Israël), vous ferez un prélèvement pour l’Éternel, prémices de vos boulanges (ou "vos fournées").
Une "hala" (un pain pétri à l’huile) vous prélèverez.
Comme le prélèvement de ce que vous engrangez, ainsi vous la prélèverez (la "hala").
Des prémices de vos boulanges (ou "vos fournées") vous offrirez à l’Éternel, prélèvement pour vos générations."

Les mots "boulanges" et "fournées" sont ici au pluriel, fidèlement au pluriel que le texte semble employer dans ערסתיכם "arissotey'hem".
Cette compréhension et cette traduction semblent plus plausibles, et cela change totalement l’accomplissement probable de ces versets.

Un autre point important se trouve en ces versets. Une subtilité du texte doit être relevée et expliquée.
Le premier verset parle de לחם "pain" (pain ordinaire), et pas de חלה "hala" "pain à l’huile" :
"Lorsque VOUS mangerez du pain" s’adresse au peuple : "lorsque, VOUS, le peuple, mangerez du pain (ordinaire) ….".
La suite nous dit qu’alors une חלה "hala" doit être préparée pour être offerte à l’Éternel.
Lorsque le peuple mangera son "pain", une "hala" sera pour l’Éternel.
Ceci explique la différence de vocabulaire, לחם "pain" au début de ce passage, puis חלה "hala" ensuite.

Il y a encore un mot important, qui est ignoré par le judaïsme :
Un mot particulier est exprimé dans les versets ci-dessus. Ce mot est ראשית "réshitt" auquel les traductions donnent le sens de "prémices". Le judaïsme n’en a absolument pas tenu compte, ou n’a rien compris, ou n’a rien voulu comprendre.
Lorsque le texte de la Tora parle de ראשית "prémices", comme en l’occurrence, il s'agit des premiers produits annuels de la terre, comme les premières récoltes de céréales ou de fruits. Le passage biblique occurrent l’indique clairement : "comme ce que vous engrangez".
Plusieurs autres références confirment ce sens, citons par exemple : Exode, chap. 23, v. 19 ; Exode, chap. 34, v. 26 ; Lévitique, chap. 23, v. 10 ; Nombres, chap. 18, v. 12.
Dans le cas occurrent, il s’agit de la première récolte permettant à la population de se faire du pain. Chaque année, une nouvelle récolte permettait de se faire un "nouveau pain".
Rappelons aussi qu’à l’époque du Temple de Salomon, chaque année, avant la fête de Shavouhott, une partie des premières moissons de blé était apportée au Temple, à Jérusalem, en offrande à l’Éternel (la quantité était d’un עמר "ômer", une unité de mesure de l’époque biblique). Concrètement, cette offrande (appelée aussi תרומה "térouma" "prélèvement") était au profit des כהנים "Cohanim", les Prêtres qui servaient au Temple (Toute תרומה "térouma", soit tout "prélèvement", est au profit des Cohanim : Nombres, chap. 5, v. 9 ; chap. 18, v. 8 à13 et 19 ; Ézéchiel, chap. 44, v. 30).
(Lire aussi ce qui concerne la fête de Shavouhott cliquez ici ).
Sachant tout ceci, que demande alors le passage cité ci-dessus (Nombres, chap. 15, v. 18-21) ?
Lorsqu’une nouvelle récolte annuelle était faite, une part devait être apportée au Temple, après quoi la population pouvait se faire un "nouveau pain" (pétri à l’eau). C’est alors qu’une חלה "hala" (pétrie à l’huile) devait être préparée et offerte à l’Éternel. Cette חלה "hala" devait être préparée du blé nouveau, des "prémices" de ce blé. C'est ce que demande le passage (ci-dessus) qui emploie le mot ראשית "réshitt" "prémices" composé de la racine ר א ש, comme dans le mot ראש "rosh", le "début", la "tête", le "chef" en certains cas.
Du blé nouveau, une seule חלה "hala" devait être préparée et offerte à l’Éternel, pour toute l’année, et pour tous les Israélites.

Tout est clairement, explicitement indiqué en Nombres, chap. 15, v. 19 et suivants :

...והיה באכלכם מלחם הארץ תרימו תרומה ליהוה
חלה תרימו תרומה
"Alors, lorsque vous (le peuple) mangerez du pain du pays (Israël), vous ferez un prélèvement pour l’Éternel,...
Une "hala" (un pain pétri à l’huile) vous prélèverez."
Tout était clair, tant que le judaïsme n'était pas venu polluer la compréhension et égarer les esprits.

Observons ce qu’en a fait le judaïsme.
La pratique du judaïsme ignore totalement ce mot, ראשית "réshitt" "prémices", qui est pourtant caractéristique et fait référence à la première récolte annuelle.
De plus, cette récolte devait et doit être celle de la terre d’Israël. Ce ne doit pas être n’importe quelle récolte de blé de n’importe quel autre pays. Car, le verset 19, cité ci-dessus, parle clairement de לחם הארץ "pain du pays" (Israël).
Ainsi, il en est de même pour la חלה "hala" : elle devait être faite des "prémices", soit la première récolte annuelle du blé de la terre d’Israël.
Or, contrairement à tout ce qui est expliqué précédemment, le judaïsme demande à toutes les femmes juives de "prélever" le volume d’un œuf sur toutes les pâtes de plus de 1,6 kilo (environ), quelle que soit l’origine du blé, et toute l’année, à chaque fois qu’une pâte est faite, presque toujours pétrie à l’eau (alors qu’une "hala" doit être pétrie à l’huile).
Dans le judaïsme cette partie de pâte non cuite est ainsi prélevée, et brûlée.
La Tora ne demande ni un tel "prélèvement" de pâte, ni de la brûler.
Le judaïsme ignore la Tora, et fait n’importe quoi.

En outre, néanmoins de plus, une personne m'a fait observer que ce rite juif, en lequel sont partagés le pain et le vin avec les personnes présentes, est très proche, voire identique à la Cène (dernier repas de Jésus avec ses apôtres), et que l'on retrouve dans l'Eucharistie chrétienne.
(Le vin dont il est question est celui du "kidouche". Cliquer ici ).
Tout cela est totalement hors Tora. Ce n'est pas la religion d'Israël.


Mesdames, c'est essentiellement vous (pas vos époux) que le judaïsme a chargées de faire ces "fausses halotes" (hors "halotes commerciales", vendues en boulangeries, que des boulangers peuvent faire).
Vous vous donnez du mal, vous prenez la peine de faire ces "halotes" en croyant faire une "mitsva", en croyant faire une bonne action, obéir à un commandement. C'est tout le contraire. Vous faites une faute envers Dieu. Le judaïsme vous la fait faire. Car, comme expliqué en ce qui précède, ce qui est fait mais que la Tora ne demande pas, comme ce qui est inventé, est un autre culte, une profanation. Vous n'en avez pas conscience, parce que nul ne l'a éveillée auparavant, mais vous êtes en faute, envers la Tora, envers Dieu à qui vous n'obéissez pas.
Il en est de même pour la consommation de ces pains rituels, sur lesquels des prières profanes sont dites, que Dieu n'a pas demandées.
Il temps de vous demander, Mesdames et Messieurs, si vous voulez vous conformer à la Tora, à ce que Dieu vous a demandé, ou si vous préférez obéir au judaïsme, ses rabbins et leurs innombrables inventions.

Le judaïsme fut et est encore une catastrophe pour le peuple d'Israël.
Le peuple d'Israël est encore sous l'emprise du judaïsme à ce jour.
Dans le monde entier, et parmi les Israélites éparpillés dans le monde, une énorme partie de l'humanité croit que le judaïsme est la religion d'Israël.
L'état moderne d'Israël aussi est un état juif.
Or, les Israélites de part le monde et ceux citoyens de l'état d'Israël devraient être israélistes, et ainsi se conformer à la Tora plutôt qu'à la déraison et aux déviances du judaïsme. Il en est de même pour l'état moderne d'Israël : il devrait être israéliste, et pas un état juif.



Résumé des principales idées à redresser, et retenir :
- Une חלה "hala" est une sorte de pain pétri à l’huile.

- Le mot חלה "hala" ne désigne en aucun cas un "prélèvement".

- Le mot תרומה "térouma" signifie "prélèvement".

- Une seule חלה "hala" devait être offerte, une par an, une seule pour toute l’année et pour tout le peuple d’Israël.

- Cette חלה "hala" annuelle devait être faite du blé de la terre d’Israël, exclusivement (pas du blé d’un autre pays).

- Cette חלה "hala" était consacrée, et devait être consommée par les Cohanim, en lieu pur, et eux-mêmes en état de pureté.

- Cette חלה "hala" annuelle ne doit pas être confondue avec les douze חלות "halotes" demandées pour le Shabatt.

- En effet, douze חלות "halotes" devaient être préparées et offertes pour le Shabatt, pas deux comme le fait le judaïsme.

- Ces douze חלות "halotes" devaient être consommées par les Cohanim, en lieu pur, et eux-mêmes en état de pureté.

- La table du peuple n’est pas l’Autel des sacrifices, et les repas du peuple ne sont pas des sacrifices (comme ceux sur l’Autel).

- Il n'existe pas de "peuple juif". La Tora parle uniquement de "peuple d'Israël".
Employer "peuple juif" à la place de "peuple d'Israël" est un amalgame fait par le judaïsme pour servir sa cause, pour se faire passer pour la religion d'Israël (celle que Moïse a instituée). Or le judaïsme n'est pas la religion d'Israël. Le judaïsme est plein d'écarts, de dérives et déviances comme ceux et celles dénoncées en cette étude.

- Depuis la destruction du Temple de Salomon, il n’y a plus de pensée prophétique, plus de présence divine (manifeste). Plusieurs siècles après la destruction du Temple, sont apparus les פרושים "pérouchim", les Pharisiens, qui sont les ancêtres du judaïsme moderne. Les Pharisiens et leurs descendants, les rabbins, le judaïsme, ont renversé l’ordre établi par Moïse, ont évincé de leur fonction les Cohanim. Les rabbins, guides spirituels des Pharisiens et du judaïsme, ont pris la place des Cohanim.

- Parce qu'il n'y a plus de Temple, il n'est plus possible d'accomplir certains commandements. Lorsqu’il n’est pas possible d’accomplir un ou plusieurs commandements, l’on s’abstient, et l’on n’invente rien en remplacement. Ainsi, par exemple, durant les pérégrinations dans le désert, les Israélites (à ne plus confondre avec les "Juifs") n’ont pu pratiquer la circoncision (Josué, chap. 5, v. 7). Ne pouvant pratiquer la circoncision, les Israélites se sont abstenus, sans rien inventer, sans remplacer la circoncision par autre chose. Or, le judaïsme est plein d’inventions insensées, qu'elles soient ou non en remplacement de ceci ou cela.

La liste complète des écarts, dérives, inepties, etc. du judaïsme est impossible à dresser.
Cette religion est ridicule de ne pas comprendre ni appliquer les textes qui, en principe, sont pourtant ceux de ses fondements.
Ce ridicule porterait à rire. Mais, au regard des effets sur le peuple d’Israël cette religion ne conduit pas à rire.

Le judaïsme est une catastrophe commencée il y a environ deux mille ans. Ses toutes premières racines remontent au retour des Judéens de Babylone (il y a environ deux mille six cents ans). Le judaïsme n’existait pas auparavant, n’existait pas à l’époque de Moïse.
Cette religion, le judaïsme, est en réalité une secte par toutes ses inventions. (Qu’est-ce qu’une secte ? cliquez ici ).
Cette secte, le judaïsme, qui prétend être la religion d’Israël est une aberration.
Cette aberration en a donné d’autres. D’autres branches et d’autres religions en sont nées.
Cette secte, le judaïsme, est elle-même née d’une autre, le pharisaïsme. Les Pharisiens (cf. ce qui précède) ont renversé ce que Moïse avait institué en suivant les instructions divines. Les Pharisiens se sont érigés en maîtres à penser, en guides spirituels. Or, l’Éternel ne les a jamais institués. Le judaïsme a ensuite succédé au pharisaïsme, avec les mêmes guides spirituels, les rabbins, que l’Éternel n’a pas plus institués.

Depuis au moins deux mille ans, cette secte, le judaïsme, prétend être la religion d’Israël. Mais, il est évident, en prenant connaissance de la Tora, que le judaïsme n’est pas la religion d’Israël, mais une énorme déviance.
Il ne s’agit pas uniquement de simples stupidités naïves, commises par erreur ou niaiserie. Une vicieuse volonté de manipuler les esprits et dissimuler la vérité peut s’observer dans cette secte. Ses actuels acteurs, des égarés eux-mêmes, n’en ont pas toujours conscience. Par exemple, l’on peut citer l’emploi de l’expression "peuple juif" (cf. ce qui précède), qui n'est certainement une naïve erreur.
Pour rappel : la Tora ne parle pas de "peuple juif". La Tora n’emploie nulle part cette expression, "peuple juif". Il s’agit d’un amalgame fait par le judaïsme (entre autres amalgames).

Le judaïsme a semé et sème encore troubles confusions dans les esprits, se substituant ainsi à la religion d'Israël, se faisant passer pour la religion d'Israël, comme dans l’exemple de "peuple juif" en remplacement de "peuple d’Israël".
Dénoncer ces faits et mensonges est un devoir. Relayez ces informations. Faites ce bien. Rétablissons la vérité.
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4 – Questions posées, et leurs réponses.
Question : quelle est la bonne proportion d’huile pour faire une חלה "hala" ?
Question : doit-on pétrir en mélangeant huile et eau, et dans quelles proportions ?
Réponses :
Selon les éléments du texte, il ne faudrait pas incorporer d’eau. La proportion d’huile pour le pétrissage serait de 100 %, et pas du tout d’eau.
Prenons un exemple. Certains versets (entre autres, Exode, 29, 2 ; Lévitique, 2, 4 ; Lévitique, 7, 12) demandent des
רקיקי משחים בשמן
"galettes (traduction traditionnelle) ointes d’huile"
Dans ce cas, l’onction est à l’huile uniquement. Rien n’indique autre chose. L’huile serait l’huile d’olive, probablement la seule employée à cette époque, comme celle demandée pour la "ménora" (le chandelier à sept branches).
Le raisonnement pour l’onction s’applique au pétrissage : il se fait à l’huile d’olive uniquement. Rien dans le texte n’indique autre chose.
Une חלה "hala" doit donc être pétrie à l’huile uniquement, 100 % d’huile d'olive, et rien d’autre.

Question : Le pain italien est-il une חלה "hala" ?
Réponse :
Ce pain, qui est peut-être nord-africain plutôt qu’italien, est en effet pétri avec un peu d’huile (huile d’olive en principe). Mais, elle n’est présente qu’en proportion inférieure à l’eau. C’est un pain qui incorpore un peu d’huile, mais pas uniquement pétri à l’huile. Ce n’est pas une חלה "hala".
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