Le prétendu "féminisme" est trop souvent du sexisme
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Ce qui suit a été écrit à plusieurs dates pour un dit "réseau social". Le sujet du "féminisme", la confusion qu'il inclut et qui l'accompagne, font partie de la pétaudière du monde. C'est pourquoi ils figurent ici. En ce même site est aussi abordé le sujet de l'avortement, et de ce sujet celui du "féminisme". Pour étudier ces deux sujets liés entre eux cliquez ici. Ici, les écrits les plus récents sont au dessus des autres. Pour lire dans l'ordre temporel il faut donc commencer depuis le premier écrit, du 12 janvier 2023, qui se trouve vers le bas de cette page. 7 mars 2023. Le mot "féminicide" Outre ces drames, d’une manière plus générale, les médias se servent de leur position pour faire passer leurs idées. Le plus souvent, il s’agit des idées d’un média tout entier. Cela s'appelle une "culture d’entreprise". Malheur à l’employé/e qui ne s’y soumet. D’autres fois, il peut s’agir de la prise de liberté d’une personne dans un média, qui emploiera insidieusement un mot plutôt qu’un autre, et qui recommencera d’une manière ou d’une autre, jusqu’à être "repérée" (et malheur à elle éventuellement). Du fait d’une ou plusieurs personnes, d’une manière ou d’une autre, malheureusement les médias manipulent, perturbent les idées, et ainsi "formatent" les esprits. Et une immense majorité les suit, comme des moutons suivent le troupeau, et sans réagir, ce qui est compréhensible puisqu’en cette majorité nul ne réfléchit, mais "gobe" en pleine crédulité, et se laisse ainsi mener, vide d’esprit de discernement. Sauf à exclure les femmes du genre "homo", (il ne s'agit pas d’homosexualité mais du genre "homo" dans le sens de "humain", car nous sommes des "homo sapiens" selon la terminologie scientifique), le meurtre d’une femme est un "homicide", mot en lequel nous retrouvons les lettres "hom", comme dans le genre "homo", soit "humain". Parler d’autre chose, comme d’un "féminicide" en remplacement de "homicide", pourrait équivaloir à nier le caractère humain des femmes. "Féminicide", un prétendu "féminisme" serait à l’origine de ce terme, pour distinguer les femmes. Quelle mauvaise idée ! Quel mauvais choix ! Depuis toujours, soit des millions d’années, le genre humain est composé de mâles et de femelles, de femmes et d’hommes. Seules des idées soi-disant "modernes" s’expriment depuis quelques décennies comme pour distinguer deux humanités, ou, en cet exemple, distinguer les femmes du genre humain en parlant de "féminicide" à la place de "homicide". S’il y a "féminicide", il devrait alors y avoir un équivalent masculin. Mais il n’existe pas. Si toutefois il existait, nul ne l’a jamais entendu. Je ne vois aucun bien, aucun bon avenir, à de telles idées qui font malheureusement chemin depuis des décennies, et sont déjà bien trop implantées. Je n’ai pu observer que des femmes rendues de plus en plus agressives à l’égard des hommes, même agressives en général, mais sans qu’elles en aient bien conscience, et qui transmettent et perpétuent de telles idées à des générations suivantes, qui, ces dernières, vivent dans une société elle-même "formatée" à ces idées. Nous ne sommes plus dans le domaine de la réparation des injustices faites aux femmes (tel, par exemple, le droit de vote, le même salaire que les hommes, etc.), ou la réparation pour intégrer les femmes où elles ne l’étaient pas. Avec de tels mauvais choix, nous sommes dans un domaine qui semble vouloir créer une sorte de monde parallèle, féminin, en lequel les hommes sont désignés comme la source de tous les maux que les femmes auraient subis, malheureuses victimes, seulement et toujours victimes, victimes des hommes, des hommes qui portent toutes les responsabilités et fautes. Ces derniers aspects forment un stéréotype et leitmotiv (refrain) de l'idéologie "féministe". Quel serait l’avenir de telles idées prétendues "féministes" ? Comment hommes et femmes devraient-ils vivre à l’avenir ? Quel est le programme, si ce prétendu "féminisme" en a un ? Les hommes sont-ils honnis et à honnir pour l’éternité ? Un monde exclusivement féminin devrait-il exister ? Suprémaciste ? Un monde d'amazones ? (Amazones : femmes guerrières mythologiques, qui auraient vécu entre femmes. Selon ce mythe elles tuaient leurs enfants mâles ou les mutilaient pour en faire leurs esclaves). "Féminicide", que les médias emploient tant et tant, à tort et à travers, quel est ce mot ? D’où vient-il ? Quelle est sa définition ? Différentes sources s’approprient la La francophonie s’est trouvé des sources remontant jusqu’au 17ème siècle pour la plus ancienne (sous le terme de "femmicide"). Mais, le terme actuellement employé viendrait de l’anglais, et serait bien plus récent. Il ne remonte pas plus loin que les années 1970. C’est en effet en 1974 que le terme "femicide" aurait été inventé, mais employé et popularisé quelques années plus tard (en 1980) avec la définition suivante : "Meurtres de femmes commis par des hommes parce ce que sont des femmes." Je ne sais pourquoi tout est au pluriel. J’ai trouvé cette définition ainsi écrite. Si j’avais eu à rédiger cette définition (mais, c'est peu probable, car j'aurais refusé de collaborer) je l’aurais plutôt écrite au singulier et de cette façon : "Meurtre d’une ou plusieurs femmes, commis par un ou des hommes, parce ce que sont des femmes." Telle que je l’ai trouvée écrite, cette définition ne pourrait s’employer que si plusieurs femmes ont été tuées, ET si elles ont été tuées par plusieurs hommes. Ainsi, selon la définition donnée en 1974 : Si un homme a tué une femme, cette définition n’y correspond pas. Si un homme a tué plusieurs femmes, cette définition n’y correspond pas. Si un homme a tué plusieurs femmes, mais une seule a été tuée parce que c’est une femme, cette définition n’y correspond pas. Si plusieurs hommes ont tué plusieurs femmes, mais une seule a été tuée parce que c’est une femme, cette définition n’y correspond pas. Je trouve cette définition pour le moins mal pensée, autant que mal rédigée. Surtout, elle précise un point important : les femmes tuées le sont pour une seule et unique raison : elles sont tuées parce que ce sont des femmes (aucune autre raison sinon celle-ci). Ainsi, cette définition exclut tous les autres cas, tels, par exemple, la vengeance (pour une raison ou une autre), un "règlement de comptes" (par exemple entre truands), le crime dit "passionnel" (jalousie), etc. S'il y a une quelconque autre raison (comme les exemples ci-avant, vengeance, etc.) ce n'est alors plus un "féminicide". La définition actuelle n’est pas meilleure. Elle peut varier selon les pays, dans le langage courant et le jargon juridique. Cependant elle reste très semblable. NB : dans le dictionnaire de l’académie française, les mots "féminicide", "femmicide", "femicide", n’existent pas (à ce jour, 7 mars 2023) (cf. explication qui précèdent, notamment : mots anglais, inventés et qui tentent de se substituer à "homicide"). Cependant, malgré cette absence compréhensible du dictionnaire français, certains dictionnaires francophones ont intégré "féminicide" (ce qui s’apparente à de la démagogie). En ces dictionnaires (que je ne citerai pas pour ne pas en faire la promotion) les définitions sont : - "Meurtre d’une femme, d’une jeune fille ou d’une enfant en raison de son sexe." - "Meurtre d’une femme ou d’une jeune fille, en raison de son appartenance au sexe féminin. Crime sexiste, le "féminicide" n’est pas reconnu en tant que tel par le Code pénal français." - "Meurtre d'une femme, d'une fille en raison de son sexe." Cette liste n’est pas exhaustive, cependant, dans tous ces exemples la définition actuelle est claire : il s’agit de femmes ou filles tuées parce qu’elles sont du sexe féminin. C’est la seule et unique raison de leur assassinat. Donc, suivant ces définitions, d’une rare stupidité, tout ce qui est appelé "féminicide" dans les médias et/ou le langage courant n’y correspond pas. Car, pour employer ce mot, "féminicide", il faudrait démontrer, que les filles ou femmes tuées l’ont été pour l’unique raison de leur féminité. Or, pratiquement aucun cas réel n’y correspond. Et si toutefois un ou des hommes étaient aussi abrutis, stupides, insensés, monstrueux, au point de tuer une ou des femmes pour la seule raison de leur féminité, ce serait alors un "génocide", un "crime contre l’humanité", ce qui renvoie à d’autres définitions, peines, procédures, etc. déjà existantes, que "féminicide" ne saurait remplacer. Le terme de "féminicide" semble avoir été inventé sans recul, sans réflexion, sans savoir, sans projection à propos de ses implications, sans projection dans l’avenir. Depuis son invention dans les années 1970, il semble être né d’une volonté farouche de quelques femmes contre le genre masculin qu’elles voulaient culpabiliser, accabler de toutes les fautes, tout en rendant toutes les femmes victimes et innocentes de toute faute. Nous sommes dans ce cas, encore une fois hélas, face à de la misandrie. Ce n’est pas du "féminisme". Émotionnellement touché par des cas de meurtres de femmes, le monde a accepté sans discernement ce mot "féminicide", et l’emploie à tort et à travers, à chaque fois qu’une femme est tuée, sans même que le cas corresponde à la définition qu’un prétendu "féminisme" lui a donné. Or, et pour rappel : le meurtre d’une femme, comme celui d’un homme, n'est pas un "féminicide", mais un "homicide", parce que femmes et hommes sont du genre "homo", soit "humain". Quant aux médias, ils nous polluent les informations et les idées en employant n’importe quel terme, n’importe comment, sans plus de discernement ou d’instruction du sujet. C’est aussi par démagogie (commerce et "audimat" obligent), et/ou par prise de position partiale, ce qui n’est pas brillant, mais le contraire. Les médias nous lancent des informations telles que "encore un féminicide", "c’est le énième depuis le début de l’année". C’est tout. Pourtant, des questions se posent. Quelles sont les raisons de chacun de ces dits "féminicides" ? Quels points communs y aurait-il entre eux ? S’il y en a, quels sont-ils ? Quel sociologue les auraient étudiés, pour comprendre les phénomènes ? Y aurait-il un phénomène mimétique, reproductif ? Y aurait-il une cause ou facteur social sur lequel se pencher pour y apporter une solution ? Les hommes ne sont-ils que coupables, les seuls et uniques coupables, coupables de tout et dans tous les cas ? Etc. Bien des questions se posent, que n’ont pas posées les médias. La qualité informative des médias est d'une autre époque. Elle est au ras des pâquerettes. Les pouvoirs publics sont encore pires. Et le prétendu "féminisme" n’arrange rien, au contraire (cf explications en cette page internet). Le prétendu "féminisme" n’a fait que dresser des femmes contre les hommes, plutôt que proposer, avec volonté d'équilibre et de paix, des solutions aux problèmes. Il ne s'agit pas seulement d'une simple question de vocabulaire mal employé, à propos de mots comme "patriarcat" ou "féminicide". Le "féminisme" est aussi une idéologie, un ensemble d'idées qui ont pour volonté de piloter des femmes, des institutions, marquer la vie sociale, etc. En cette idéologie certains aspects peuvent faire penser aux religions (le culte du corps et de la féminité. Ce sujet sera développé ultérieurement). L'idéologie féministe a implanté sa marque jusqu'à des niveaux internationaux, comme, par exemple, l'institution d'une "journée internationale des femmes" (selon l'appellation officielle de l'ONU), ou "journée internationale des droits des femmes". Il existe même une "ONU femmes" (oui, ça existe). Existe t-il des équivalents pour les hommes ? Comment peut-on accepter qu'il y ait un "droit des femmes" que n'auraient pas les hommes ? Où est la parité ? Où est l'égalité ? Pourquoi y aurait-il un droit spécifique aux femmes, et pas un seul et même droit pour tout le monde ? Parité et égalité sont censés être du domaine de "l'ONU femmes". Au nom de la parité et de l'égalité, existe t-il une "ONU hommes" ? Et si oui, pourquoi devrait-il exister une "ONU femmes" et une "ONU hommes" ? Va t-on encore avancer dans cette direction, comme s'il y avait deux humanités ? Est-ce que le monde réfléchit ? A l'ONU, il est clair pour moi que non. Je ne peux avoir une bonne opinion de cette institution. Pour moi, elle est à remplacer. Le "féminisme" a désorienté le monde, et le dirige encore dans une mauvaise direction, une direction sexiste. Et le monde est aveugle. Lorsque je lis ou j’entends des slogans "féministes" tels que : "A bas le sexe fort ! A mort ! A mort ! A mort !" Ou sa variante : "Mort au sexe fort ! A mort ! A mort ! A mort !" On est clairement hors d’un prétendu "féminisme", et clairement dans la haine du genre masculin, dans la misandrie, et même dans l’appel au meurtre. Comment faudrait-il l’appeler ? "Hommicide" ? "Masculicide" ? "Androcide" ? Un tel appel au meurtre n'est-il pas répréhensible ? Que prévoit ou fait la justice pour lutter contre de tels propos et propagation de telles idées ? Et lorsqu'un homme est insulté, par "macho" le plus souvent, que prévoit ou fait la justice pour lutter contre de tels propos, comportements, attitudes ? Rien. Je ne connais pas chez les hommes une telle haine des femmes, comme le "féminisme" hait les hommes. Je n’ai jamais lu ou entendu chez les hommes de tels slogans contre les femmes. Le "féminisme" n’est souvent que de la misandrie, et rien d’autre, tout en prétendant le contraire. Le "féminisme" a fait assez de mal dans le monde. Il est déjà temps d’en finir avec ce problème social, et passer à autre chose, passer à mieux, et rendre justice aux femmes là c'est encore à faire. Car, on ne peut nier que des femmes ont subi des frustrations et injustices, et il faut s’efforcer de les réparer. Mais, ce n’est pas avec un prétendu "féminisme", si pourri de misandrie, de haine et d'agressivité que l’on le pourrait. "Féminisme" sonne "suprémacisme" (lire ce que j’ai écrit à des dates précédentes). Un bon avenir ne peut se trouver dans le masculinisme (supériorité masculine) ni dans le féminisme (supériorité féminine). Heureusement, toutes les femmes ne sont pas ainsi dressées par le "féminisme". Dieu merci, il reste de l’espoir. Il n’y en aurait plus si l’on n’écoutait que le "féminisme". 20 février 2023. Le mot "patriarcat" Je fais suite à mes posts du 12 janvier 2023, 5 février 2023, 12 février 2023. Le sujet occurrent est celui d’un mot de vocabulaire : le "patriarcat". C’est un mot que certaines tendances ou aspects d’un prétendu "féminisme" aiment répéter pour le fustiger. Qu’est-ce que le patriarcat ? Patriarcat vient de "patriarche". Le patriarcat est la position sociale d’un patriarche. De même qu’existe "patriarcat", existe aussi "matriarcat". Le matriarcat est la position sociale d’une matriarche. Qu’est-ce qu’un patriarche ? Qu’est-ce qu’une matriarche ? Au sens propre, c’est un père, une mère, aïeul, aïeule, d’une famille, voire d’une nombreuse descendance, voire d’une ethnie, un peuple. C’est le cas dans le sens biblique de ces mots. Car, patriarche a aussi, voire d’abord, un sens religieux. Dans les religions bibliques, les patriarches se résument essentiellement à trois personnages principaux : אברהם יצחק יעקב Abraham, Isaac, Jacob (le nom de ce dernier a ensuite été changé en Israël, par la volonté divine). La Bible parle aussi de matriarches. Les épouses des ces deux premiers patriarches, étaient : שרה רבקה Sara, Rebecca. Abraham eut d’autres femmes, comme הגר Agar l’Égyptienne, et d’autres, notamment après le décès de Sara. Mais, la Bible se resserre sur l’histoire d’Israël. Cette histoire est aussi constituée de matriarches, elles aussi citées par la Bible. Elles furent quatre femmes, quatre mères des enfants d’Israël : לאה רחל בלהה זלפה Léa, Rachel, Bilha, Zilpa. (Ces noms sont ceux des traductions traditionnelles, mais, en réalité, les bonnes prononciations sont peut-être différentes. C’est un autre sujet). Par extension, un "patriarche", une "matriarche", est une personne qui a donné une descendance importante, ou qui a eu une longévité importante. Par extension encore, ce peut être une personne qui en dirige d’autres du fait de son savoir et/ou expérience. Un patriarche, une matriarche, sont donc des personnages respectables, et à respecter. Fustiger le "patriarcat", comme le fait un prétendu "féminisme", foule aux pieds (méprise, piétine), salit et insulte des personnes respectables, seulement des hommes, jamais des femmes. Ce n’est pas du "féminisme". C’est de la misandrie, prétendue "féminisme". Ce prétendu "féminisme" détourne les sens des mots, les manipule, et manipule les esprits. Ce que ce prétendu "féminisme" veut fustiger, c’est le "masculinisme". "Masculinisme" est le mot qui convient. "Masculinisme" a été remplacé par "patriarcat", peut-être par erreur ou ignorance, ou, peut-être aussi, par volonté d’attaquer la Bible. Car, certaines branches, ou tendances, ou idées "féministes" croient et/ou prétendent que la Bible serait responsable de tout ce que les femmes auraient "enduré" (selon elles), et de tout temps. Il m’est personnellement arrivé (en plusieurs années) d’entendre qu’Abraham serait le père de tous les "maux" "endurés" (selon cette autre thèse) par toutes les femmes, jusqu’à nos jours. L’argumentaire entendu était arbitraire, interprétatif, très subjectif et "tiré par les cheveux" (expression signifiant "explications peu claires ou probables, pour amener à des conclusions forcées"). Plus généralement, ces branches ou tendances qui se disent "féministes", croient aussi que la culture judéo-chrétienne, et les modes de vie dans les cultures occidentales et/ou judéo-chrétiennes, sont les mêmes partout dans le monde. Mais, le monde entier n’est pas "occidental", ni de culture judéo-chrétienne, ni même biblique. Une énorme partie de l’humanité est hindouiste ou bouddhiste. Ces deux religions ne sont ni occidentales ni bibliques. Abraham, la Bible, la culture biblique et les religions bibliques ne sont pas en ces sociétés, ne les ont pas influencées. Imputer à Abraham, ou la Bible, tout ce que les femmes asiatiques auraient "enduré" (selon ces thèses) est absurde. Abraham "a le dos large" (expression signifiant qu’on lui impute bien des fautes). Il est facile d’accuser un personnage qui n’est plus, et facile de torturer une histoire en lui donnant des interprétations selon ce qui convient à une idéologie. La Bible a pourtant ses "féministes", contrairement à ces idées prétendument "féministes" de nos jours (qui attaquent aussi "le serpent de Bible", autre prétendue cause de tous les maux des "pauvres femmes victimes des sales et méchants hommes et de la Bible). Dans la Bible, les filles d’un personnage nommé צלפחד Tsélof’had ont demandé une part territoriale en héritage de leur père défunt. Moïse ne les a pas repoussées, ni repoussé leur demande. Il a soumis leur demande à Dieu, et Dieu leur a accordé ce droit (lire le livre des Nombres, chap. 27, v. 1-11, ce cas implique aussi un autre et plus complexe sujet portant sur la transmission territoriale). Sans parler de "féminisme", l’on ne peut ignorer aussi d’autres personnages féminins bibliques, comme מרים Myriam, sœur de Moïse et prophétesse (Exode, chap. 15, v. 20), ou encore דבורה Débora prophétesse et juge parmi les Juges d’Israël (livre des Juges, chap. 4, v. 4). L’histoire d’Israël et la Bible étaient féministes bien avant le "féminisme", qui n’a pourtant pas manqué de les attaquer. NB : la partie du "jardin d’Éden" et du "serpent de la Bible" est un récit pour le moins douteux, un conte inventé, probablement inséré dans la Bible par le judaïsme ou ses prédécesseurs les Pharisiens. Je n’ai pas encore pu écrire sur ce sujet. C’est un autre sujet. L’un des problèmes, parmi tout ce qui est regroupé sous l’appellation "féminisme", se trouve aussi dans le fait que des femmes prétendent parler au nom de toutes les femmes, les femmes du monde entier, même celles qui n’ont rien demandé, même celles qui ne sont pas d’accord mais ne l’ont pas exprimé. Ces femmes qui parlent au nom de toutes les autres, parlent aussi au nom des femmes de tous les temps, et comme si aucune n’avait été heureuse, mais comme si toutes n’avaient été qu’écrasées par le "patriarcat", et malheureuses victimes du "patriarcat". Tout cela n’est pas du "féminisme". Parler au nom de toutes les femmes est s’ériger au dessus des autres, et s’ériger de manière autoproclamée. C’est une volonté hégémonique, voulant régner sur toutes les femmes, et, bien sûr, sur les hommes. C’est aussi une volonté expansionniste (puisqu’elle parle au nom de toutes les femmes du monde), qui aimerait étendre au monde entier son idéologie prétendue "féminisme", voire imposer un "matriarcat mondial" si c’était possible. Or, remplacer le "patriarcat" par le "matriarcat" ne ferait qu’inverser un problème prétendument dénoncé par le "féminisme". Tout cela n’est pas du "féminisme", mais, encore une fois, de la misandrie, une volonté suprémaciste basée sur le genre, un mal comme le racisme est basé sur la race. Malheureusement, bien d’autres femmes suivent ces prétendues "féministes" qui parlent au nom de toutes. Parmi celles qui suivent, certaines sont leurrées. Certaines autres n’osent se distinguer, encore moins s’opposer. Qui le pourrait devant cette virulence prétendue "féminisme" ? Ainsi, en parlant au nom de toutes les femmes, des femmes dominent d’autres femmes, toutes celles qui n’ont rien demandé, n’expriment pas leur désaccord, ou n’osent le faire, ou ne savent comment le faire, on n’ont pas compris l’importance de l’exprimer. Irrespect, ignorance, agressivité anti masculine (misandrie), idéologie suprémaciste (matriarcat), volonté hégémonique et expansionniste, etc. malheureusement cette liste n’est pas exhaustive. Si le prétendu "féminisme" se débarrassait de tout ou partie de ces réalités, il n’en serait que plus crédible, et l’avenir moins malsain. Espérons même l'avenir plus sain. 12 février 2023. Un exemple de sexisme, d'accusation des hommes et de victimisation des femmes Les mots qui suivent sont tirés d’une chanson : "Si les hommes n'étaient pas si pressés de prendre maîtresse" Fin de citation. Une sorte d’insistance répète une seconde fois ces paroles dans la chanson, bien qu’elles ne soient pas le refrain. Ces paroles sont sexistes. Elles font du tort aux hommes, et aux femmes aussi. Les paroles disent "les hommes" (pas "des hommes", mais "LES hommes"). Elles incriminent (à tort) tous les hommes sans exception. Les paroles accusent et culpabilisent seulement les hommes, faisant silence sur les actes des femmes concernées, les "maîtresses", pourtant présentes dans les paroles, et donc aussi fautives et coupables que les hommes. De telles paroles propagent une mauvaise idée sur les hommes, seuls stigmatisés, et qui (selon ces paroles) seraient tous et toujours empressés de tromper. De telles idées sont malheureusement courantes dans le monde actuel. Elles se perpétuent et touchent les plus jeunes personnes. Des jeunes femmes ont cette idée des hommes. Des jeunes hommes en pensent que les hommes se comportent ainsi, que ce serait donc banal, et qu'ils devraient le faire aussi. Ainsi, dans cet exemple, de telles paroles peuvent produire ce qu'elles prétendent dénoncer. Ne vous laissez pas induire en erreur. Ce n’est pas ainsi. Ce n’est pas banal. Ne le faites pas. Ne soyez pas "maîtresses". Ne prenez pas "maîtresses". Je ne cite pas le titre de la chanson, ni le nom de la parolière (parolier, parolière : personne qui a écrit un texte lyrique ou une chanson), parce que je ne veux jamais stigmatiser une personne ou plusieurs, mais écrire sur des sujets de société. De plus, je ne sais quelles étaient les motivations de cette parolière. Peut-être s’agissait-il de maladresse. Peut-être regretterait-elle cette éventuelle maladresse aujourd’hui. Peut-être était-elle elle-même sous l’emprise d’un prétendu "féminisme" propagateur de mauvaises idées, fausses et sexistes envers les hommes. Etc. Cette chanson est du début des années 1980. Quarante-trois ans plus tard, il y a quelques semaines, deux femmes m’ont tenu un semblable discours. Partant du commandement biblique (Exode, chap. 20, v. 12 ou 13, selon les éditions) : לא תנאף "Ne commets pas d’adultère" Elles m’ont dit : "les hommes sont plus infidèles que les femmes". Je leur ai clairement dit que de tels propos sont sexistes, et j'ai ajouté : "Ils trompent avec qui, les hommes infidèles ? Ils ne sont pas tous homosexuels. Ils trompent avec des femmes. Alors, on ne peut dire que les hommes sont plus infidèles que les femmes." Elles ne m’ont pas répondu. Elles ont eu la volonté de comprendre. J’espère et je pense qu'elles ont bien compris. Je les en félicite. Je les en remercie. Car, d’autres personnes auraient pu rétorquer, et rétorquer encore, et diriger la conversation dans une voie sans issue. Ce qui précède n’est qu’un exemple, un parmi d’autres, hélas. En l'occurrence, il représente une caractéristique très répandue, qui montre les femmes en innocentes, jamais en faute, même pas pour une petite partie ou des torts partagés. Elles seraient même victimes des hommes, ces derniers étant les "méchants", les "machos", les fautifs, les coupables, et seuls fautifs et coupables. Bien des idées fallacieuses font du mal. Je le répète, de telles idées, de tels propos, se perpétuent, se propagent, augmentent, et augmentent le mal, envers les hommes, envers les femmes, et vice-versa. Cet exemple et d'autres cas se présentent souvent sous le nom d'une prétendue cause "féministe". Mais ce n'est pas du "féminisme". C'est du sexisme. 5 février 2023. Lorsque le "féminisme" est la défense de droits et principes dont les femmes ont été ou sont encore spoliées, (par exemple : défendre le principe à "travail égal, salaire égal", qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme) alors, pour de tels cas, je suis "féministe". Lorsque le "féminisme" prend abusivement des apparences de victime, présente constamment les femmes en sempiternelles victimes, dans des cas où elles ne le sont pas vraiment, ou pas plus que les hommes, ou si elles se présentent fallacieusement en victimes des "méchants hommes" toujours coupables, seuls coupables, et coupables de tout, etc. alors, je ne suis pas "féministe". Lorsque le "féminisme" est lui-même sexiste, consciemment ou sans même l’avoir compris, lorsque des hommes sont écartés d’associations, ou d’emplois, car il en existe qui, de fait, ne regroupent que des femmes ou une majorité de femmes, alors j’y vois du sexisme favorisant les femmes, et/ou contre les hommes, alors, je ne suis pas "féministe". (Par exemple, il m’est arrivé de voir des agences de voyage, ou immobilières, une étude notariale, des associations, qui ne comptent que des femmes, et cette volonté est parfois explicitement exprimée). Lorsque le "féminisme" est de la misandrie (ou androphobie), soit de l’aversion, voire de la haine, à l’égard du genre masculin, alors je suis anti "féministe" et anti "féminisme". Lorsque le "féminisme" se veut et/ou se dit "suprémaciste" ("girl power", par exemple, et entre autres slogans et idées), alors je suis anti "féministe", anti "féminisme suprémaciste". ("Girl power" parfois écrit "grl pwr", ou "girls power" : littéralement "pouvoir des filles", revendiquant le "pouvoir aux femmes"). "Féminisme suprémaciste" est parfois explicitement exprimé ainsi, plus souvent sous le couvert d’un relatif anonymat (dans l’internet, par exemple). Malheureusement, je regrette de devoir le répéter à propos de plusieurs domaines et sujets : la confusion règne. Ce sujet du "féminisme" n’y échappe pas. Ces quelques aspects, que j’ai discernés ci-avant, ne le sont pas les uns des autres dans la vie courante et les propos. Tous peuvent se trouver dans la confusion qui est appelée ou prétendue "féminisme". Mais, ce n’est pas du "féminisme". C’est très souvent du sexisme, qui n’en a pas toujours l’air, ou pas toujours conscience. La confusion règne aussi parce que certaines personnes utilisent cette confusion, pour mieux amener d’autres personnes à leurs idées, des idées prétendues "cause". Pour certaines personnes, le féminisme est leur religion. Comme les religions, il y a une idéologie, et une volonté de la répandre. Elle est malheureusement propagée. Le terrain semble plus propice dans le monde dit "occidental", mais ce n'est pas le seul. Cette propagation est aussi malheureusement perpétuée, transmise de mère en fille, ou plus généralement d’une aînée à de plus jeunes, dès leur jeune âge, lorsqu’elles sont encore malléables. C'est un endoctrinement. Il ne devrait pas exister de "féminisme". Car, hors du premier cas que j’ai exposé (défense des droits) que voudrait le "féminisme" ou que voudrait-il dire ? En y réfléchissant, ce serait une volonté de supériorité féminine (soit du "suprémacisme"). Ni féminisme, ni masculinisme. Les deux sont du sexisme. C’est un mal comme le racisme. Il a certaines analogies avec le racisme. A lire ou entendre certains propos, ils semblent vouloir diviser l’humanité, en plusieurs genres dans le cas du féminisme, comme si nous n’étions pas de la même espèce humaine. Je ne vois aucun bon avenir lorsque sont répandues de telles idées, qui malheureusement prennent racine, se perpétuent, se renforcent, prennent de l’ampleur, de l'importance. J’avais déjà abordé de tels sujets dans mon roman, "Les Miséreux", écrit il y a plus de vingt ans (écriture commencée en l’an 2000). Comme aujourd’hui, l’écriture se basait sur l’observation de cas réels. Mais, le message à comprendre était (et est encore) laissé au discernement des lecteurs et lectrices (les mots "lecteurs" et "lectrices" sont mis dans l’ordre alphabétique. Que le prétendu "féminisme" n’y voit pas une volonté "suprémaciste machiste et patriarcale d’un sale homme qui ne comprend rien aux femmes et qui est l'auteur de ces répugnantes lignes"). Dans mon roman, le message n’était pas assez clairement exprimé. C’est pourquoi je prends la peine de le faire aujourd'hui. J’aurai l’occasion de revenir sur de tels sujets, exposer des cas concrets. A l’avenir, lorsque vous lirez, ou entendrez parler de "féminisme", demandez-vous de quoi il s’agit. Et, ne vous sentez pas obligé/e/s d’y adhérer pour faire bonne figure, ou suivre la mode, ou le troupeau. 12 janvier 2023. "Quand une femme dit non, c’est non." C’est le slogan actuel. Quand un homme dit non, c’est pareil, c'est non. Et il ne faut pas le traiter de tous les noms, ni lui jeter des propos désobligeants, des insultes, des jugements de valeur, des jugements sur sa personne, etc. ni devenir hystérique, et j’en oublie, et j’en passe (surtout sur le lot d'injures souvent entendues à tort et à travers, "macho" en tête de liste). Et, les hommes toujours fautifs, fautifs de tout, et seuls fautifs, j’en ai assez aussi. J’aurai l’occasion de revenir sur de tels sujets. * * * * * * * Accueil de La Pétaudière |
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