Le prétendu "féminisme" est trop souvent du sexisme


© Copyright Hervé Taïeb, janvier-juin 2023.


Ce qui suit a été écrit à plusieurs dates. Certaines partie ont été écrites pour un dit "réseau social".
Le sujet du "féminisme", la confusion qu'il inclut et qui l'accompagne, font partie de la pétaudière du monde. C'est pourquoi ils figurent ici.
Qu'est-ce qu'une pétaudière ? Cliquez ici pour le savoir.

Dans une autre partie du site, est aussi abordé le sujet de l'avortement, qui est en relation avec celui du "féminisme". Pour étudier le sujet de l'avortement cliquez ici.

En cette page, les écrits les plus récents sont au dessus des autres. Pour les lire dans l'ordre temporel il faut donc commencer depuis celui du 12 janvier 2023, qui se trouve vers le bas de cette page. Les écrits sont séparés par une ligne horizontale comme celle ci-dessous.

Les sujets abordés en cette page sont :
- 19 juin 2023 : le "féminisme" d'hier, et celui d'aujourd'hui.
- 7 mars 2023 : le mot "féminicide".
- 20 février 2023 : le mot "patriarcat".
- 12 février 2023 : un exemple de sexisme, d'accusation des hommes et de victimisation des femmes.
- 5 février 2023 : quelques aspects du "féminisme" et mon adhésion ou non au "féminisme".
- 12 janvier 2023 : quand un homme dit non, c'est non.




19 juin 2023
Le féminisme d’hier, et celui d’aujourd’hui

Pour rappel : cette page internet explique que le mot "féminisme" regroupe dans une confusion plusieurs tendances, buts, idées, idéologies, courants ou aspects, etc.
Ces explications sont notamment dans la partie en date du 5 février 2023, ci-dessous (mais pas uniquement là).

Bien des "féministes" parlent des femmes en disant "les femmes", en général, et parlent ainsi de toutes les femmes sans distinction. Elles parlent au nom de toutes les femmes, y compris celles qui ne partagent pas leurs idées, ou n’adhèrent pas à tout ce qui est dit "féministe".
S’attribuer la parole au nom de toutes les femmes est amplement abusif, et c’est aussi une forme d’autocratie.
Les femmes qui ne sont pas d’accord devraient davantage pouvoir s’exprimer, et s’exprimer.
Quant aux hommes, culturellement modelés par les idées actuelles, culpabilisés par des "affaires" (par exemple ce qui a donné le mouvement dit "Me Too"), la parole est comme interdite aux quelques rares qui voudraient s’exprimer, sinon ils seraient traités de tous les noms, "macho" en tête, jusqu’à "violeur" même si ce n’est pas justifié.

Explication : un slogan "féministe" se fait parfois entendre, "victime on te croit, violeur on te voit", lors d’actions prétendues "féministes" faites pour perturber l’apparition publique ou la parole d’hommes qui ne sont pourtant pas violeurs et ne l’ont jamais été.
Des variantes, employant (par exemple) "agresseur" à la place de "violeur", peuvent aussi se faire entendre, et, par la "mondialisation", de semblables slogans dans d’autres langues peuvent aussi être entendus dans des pays dits "occidentaux" ou à culture dite "occidentale".
De tels slogans, criés en public, peuvent accuser sans qu’un jugement ait été rendu. De telles accusations peuvent être injurieuses et diffamatoires.
De fait, poursuivis par de telles actions, qui pourraient même être assimilables à de l’intimidation ou du harcèlement, des hommes sont ainsi troublés, et subissent, psychologiquement, socialement, etc. (selon le cas de chacun).
De tels exemples, plus ou moins médiatisés, exercent aussi une dissuasion sur d’autres hommes. Ces derniers, avant même que quelques rares aient l’envie, la volonté et les moyens d’exprimer une opinion, préfèrent alors s’abstenir, se taire, pour ne pas s’exposer à ce risque d’action "punitive" qu’ils pourraient subir. Ils sont réduits au silence avant même de s’exprimer. C’est un des buts recherchés par ces actions dites "féministes".
Quant aux médias qui relaient ces actions "féministes", ils participent à cette dissuasion, ou intimidation, qui réprime la libre expression. Ces médias pourraient, voire devraient, en donner l’information sans s’en faire le "haut-parleur". Des médias procèdent ainsi, lorsque, par exemple, un groupe terroriste détient un otage. Dans de tels cas, les vidéos fournies par les terroristes ne sont pas montrées, afin de limiter leur action et ne pas leur offrir une tribune. Malheureusement, des médias peuvent offrir une tribune au "féminisme", pris sans discernement comme une cause à défendre. Or, (cf. ce qui précède) dans le "féminisme" il peut s’agir de misandrie, d’intimidation, d’accusations sans jugement, voire calomnieuses, etc.

Le mot "violeur" sur une maison.

Tags, graffitis, inscriptions (signes, dessins...) etc. de telles dégradations de biens sont aussi qualifiées de "vandalisme", en plus d'être éventuellement calomnieuses ou diffamatoires au sens juridique (définitions selon les pays et législations).

D'un certain point de vue, certaines actions du "féminisme" peuvent être assimilées à une forme de terrorisme, certes non violent (jusqu'ici), mais pourtant faites pour faire peur, intimider, dissuader, punir, réduire au silence, etc.
En prenant conscience de l'importance de tels aspects, et d’autres aspects encore, des femmes, et des hommes, n’adhéreraient pas à toutes les idées ou actions dites "féministes", et même les dénonceraient et les réprouveraient (comme je le fais en cette page internet).
Malheureusement, rares sont les personnes, femmes et hommes, qui osent prendre position et s’opposer. La mode est au "féminisme", indistinctement. Oser exprimer autre chose est impopulaire. La parole n’est pas libre, ni même la pensée qui, hélas, dans l’immense majorité des cas, a été guidée, modelée.

Les différents aspects du "féminisme" exposés dans ce qui a été écrit à des dates précédentes (ci-dessous) étaient des aspects du "féminisme" d’aujourd’hui. Il faudrait aussi observer et ajouter les aspects d’hier, et les différences entre hier et aujourd'hui.
Ce qui est appelé "féminisme" aujourd’hui est-il comme hier ?
De quel "féminisme" parle t-on ? De quelles idées, de quels buts ?
Des buts seraient-ils clairement exprimés ?
Dans la plupart des cas, ne sont entendues que des diatribes, contre "le patriarcat", contre ceci contre cela, contre, par exemple, une profession qui ne serait pas ouverte aux femmes. Etc.
(Le "féminisme" ne parle pas des professions qui sont aujourd'hui majoritairement occupées par des femmes, comme les professeurs des écoles (ex instituteurs), majoritaires il y a une cinquantaine d’années, minoritaires aujourd’hui. Autre exemple : puériculteur ou assistant de puériculture sont des termes d’une extrême rareté. Le "féminisme" dirait que c’est à cause de rôles "attribués par le patriarcat", et s’en plaindrait. Par "patriarcat" les hommes sont toujours accusés, et de tout. Dans les faits, un homme qui voudrait s’occuper d’enfance ou de petite enfance serait mal vu, et mal reçu par nombre de femmes, voire directement soupçonné de pédophilie, et pourrait même en être accusé à tort au moindre prétexte. Dans de pareilles professions, prises en exemple, la parité masculine et féminine devrait être respectée, afin de donner à l’ensemble des enfants les deux images, féminine et masculine).

Pour rappel : quels sont les buts du "féminisme" ?
Équilibrer la situation ? Établir un "féminisme suprémaciste" ?
Ce sont des questions entre autres.
Sur ces deux seules questions, toutes les personnes dites ou se disant "féministes" ne seraient pas d’accord entre elles.
Ce qui est appelé "féminisme" a t-il un but exprimé qui réunirait toutes les femmes, ou au moins toutes et tous les "féministes" ?
Comme déjà écrit, la confusion règne autour du terme "féminisme" si souvent employé.

Dans les années 1970, et encore dans le début des années 1980, il était courant d’entendre le "féminisme" et les "féministes" fustiger "LES hommes", donc tous les hommes, en les traitant de "phallocrates" et en parlant de "phallocratie".
Ce qui était appelé la "phallocratie" à cette époque a été remplacé par "patriarcat", si souvent entendu et répété de nos jours (années 2020, soit 40 à 50 ans plus tard).
Entre l’époque de "phallocrate" et "phallocratie", et l’époque d’aujourd’hui qui parle de "patriarcat", il y eut, nul ne l’a oublié, les fameux termes "macho" et "machisme" encore employés de nos jours par quelques personnes qui n’ont pas fait de mise à jour vers "patriarcat".

- Traiter un homme de "macho" est insultant, et devrait être légalement réprimé.

- Parler de "machisme" insulte tous les hommes, sans distinction.

S’il y a quelque chose à exprimer, par exemple un droit dont des femmes auraient été spoliées ou le seraient encore, c’est d’une situation dont il faut parler, voire qu’il faut accuser, mais pas tous les hommes en parlant de "machisme" sans aucune distinction entre les individus, les époques, les pays, les régimes politiques et religieux, les circonstances, les raisons, etc.
De plus, des femmes peuvent aussi avoir contribué à des pratiques socioculturelles que le "féminisme" (et pas seulement) réprouverait. C’est le cas de l’excision, par exemple, pratiquée par des femmes, des plus âgées, voire des grand-mères demandant à leurs filles de le faire sur leurs petites filles. Une telle pression sociale, par exemple, était et est encore exercée par des femmes, et avec volonté, pour perpétuer cette tradition qui perdure de nos jours encore.
Des hommes aussi peuvent avoir cette volonté, mais ils ne sont pas les seuls impliqués. Des femmes le sont autant, et ce sont elles qui "pratiquent".

Que vous soyez une femme ou un homme, comprenez que :

- Parler de "machisme" accuse aveuglément tous les hommes, et seulement les hommes, et les accuse de tout, aveuglément, sans tenir compte de telles explications et tels exemples
(ci-dessus, et d'autres ci-dessous).

- "Phallocrate", "phallocratie", sont des mots qui viennent du mot "phallus", synonyme de "pénis" et "verge". Ces mots visent davantage l'anatomie masculine.
Comme pour "machisme", "phallocrate" et "phallocratie" n’accusent que les hommes, accusent les hommes de tout, seulement les hommes, sans tenir compte du rôle des femmes dans l'existence des pratiques culturelles, des traditions, des pressions sociales, etc.

L’excision n’est pas le seul exemple. D’autres, comme la dot, pourraient être cités. Selon les régions du monde, une dot doit accompagner une future épouse, et ce sont parfois les (futures) belles-mères qui peuvent l’exiger et veiller à ce qu’elle soit de bonne valeur. Cela se pratique encore dans le monde, et cela s’est pratiqué dans le monde dit "occidental". Dans cet exemple encore, le rôle des femmes ne doit pas être ignoré.
Des femmes ont aussi veillé à ce que d'autres femmes "tiennent leur rôle", c'est à dire être cantonnées à des professions ou positions sociales déterminées, sans accéder à d'autres. Des mères ou grand-mères n'auraient pas accepté que leurs filles ou petites-filles deviennent maçon, mécanicien auto ou garagiste, par exemple. La pression sociale se serait exercée dès la scolarité, en refusant que ces filles ou petites-filles aient une telle formation professionnelle, et en les orientant vers d'autres formations et métiers. C'est encore vrai aujourd’hui, y compris dans les pays dits "occidentaux".
N’accuser que les hommes, par les termes "machisme", "phallocrate", "phallocratie", est fermer les yeux sur le rôle des femmes dans le passé et de par le monde. Employer ainsi de tels termes, "macho", "machisme", "phallocrate", "phallocratie", comme le fait le "féminisme", n’est alors que du sexisme, de la misandrie.
Aussi :
- Le choix et l’emploi de termes tels "phallocrate", "phallocratie", stigmatise les hommes pour le simple fait de ce qu’ils sont, du fait de leur anatomie, de leur naissance, de leurs attributs masculins.
J’entends de tels termes comme le racisme stigmatise une race, pour une couleur de peau par exemple, soit pour le simple fait de ce que sont d’autres personnes, du fait de leur naissance, de leurs caractéristiques humaines (j’écris bien "humaines", que d’autres écriraient "raciales").
Là encore, le choix des termes, "macho" (du latin "masculus", "mâle"), "machisme", "phallocrate", "phallocratie", les révèle sexistes, misandres.

Le sexisme, celui exercé par des hommes, comme celui exercé par des femmes, hommes et femmes "féministes" ou non, est comme le racisme. C’est une plaie.
Sexisme et racisme sont tous deux des plaies.
Le monde n’a aucun bon avenir avec un tel "féminisme" qui, tout ou partie (selon les cas et sujets), est du sexisme.

Un tel prétendu "féminisme", s’il en avait le droit et la voie libre, pourrait avoir pour effet de distinguer deux humanités, divisant, voire opposant, les hommes et les femmes.
Un tel "féminisme" serait une plaie pour le futur, une plaie pour l’humanité.
Il me semble déjà présent, latent, et je souhaite qu’il ne se développe jamais. Il l’est déjà trop, sous l’appellation "féminisme" qui, confusément, mélange tout, n’accuse que les hommes, les accuse de tout, y compris d’être des hommes.

De la fin des années 1970, début des années 1980, j’ai encore quelques souvenirs de conversations entre collègues, souvent à table, au restaurant d’entreprise (expression amenée par les entreprises pour "parler classe", "plus classe" que "la cantine, au boulot").
Mes collègues féminines, à la même table que moi (ou moi avec elles, comme vous voudrez), épanchaient amplement leurs opinions, revendiquées "féministes", à propos des hommes. J’ai encore en mémoire quelques-uns de leurs propos d’alors.
Par exemple :
- "Tous des porcs !" (Soit "tous les hommes sont des porcs").
- "Des mal torchés !" (Jeu de mots avec "mâles torchés", "torchés" pouvant signifier "ivres", "alcooliques").
- "Ils (les hommes) ont l’esprit dans la culotte."
- "Quand ils (les hommes) discutent, c’est pour parler de foot, de cul ou de bagnoles."
- "Ils ("les hommes") pensent avec leur bite." (Mot grossier, vulgaire, signifiant "pénis").
- "Ils ("les hommes") n’ont que ça en tête. Pour tout le reste, compte pas sur eux."
- "J’ai envie de leur crever les couilles à coups de ciseaux."
Et d’autres "poésies" encore.
Parfois, mais plus rarement, les propos étaient des plaisanteries sexistes. Par exemple :
- "Pourquoi les hommes n’aiment pas croiser les jambes ? Pour pas écraser leur cerveau."
Pardon pour ces grossièretés, et celles qui vont suivre.

J’ai oublié une énorme partie de ce "romantisme" quotidien, et une plus grande partie a échappé à mon écoute qui préférait se concentrer sur d’autres pensées.
Dissimulés derrière l’appellation "féminisme", il s’agissait d’amers concepts et paroles misandres (misandrie : mépris, voire haine à l’égard des hommes, voire de la gent masculine, enfants compris).
La misandrie est du sexisme.

Épiphénomène fugace de cas particuliers limités à quelques personnes ?
Dire ceci serait une façon de minimiser des faits et réalités. Ils semblent avoir pris de l’ampleur ("mondialisation"). La contagion se propage encore.

Quelle est la situation de nos jours (en 2023) ?
Je prends pour exemple une photographie qui circule depuis quelques mois dans la presse et dans l’internet.
J’ai d’abord cru à une fausse information, un canular, ou une photo créée par un montage ou une dite "intelligence artificielle". Mais, sauf erreur de ma part, cette photographie serait une vraie.
Cette photo montre une femme politique française. Elle porte sur son épaule une écharpe tricolore (couleurs du drapeau de la France). Elle pose fièrement, volontairement et ostensiblement, durant ce qui semble être une manifestation dans une rue. Elle tient au dessus de sa tête une pancarte où est dessiné le "signe du vagin" (deux exemples sont ci-dessous).
Le "signe du vagin" est employé par le "féminisme" d’aujourd’hui. C'est un symbole du "féminisme", et il peut faire penser à un culte à cette partie du corps, ou plutôt à la féminité (des explications suivent).

Signe du vagin avec
les pouces et index.

Signe du vagin avec
tous les doigts.
Personnellement, je n’ai jamais vu un homme politique, ni français ni d’une autre nationalité, brandir un phallus ou un geste le symbolisant.
Je ne connais même pas l’existence d’un signe "masculiniste" qui emploierait un phallus, ni même l’existence d’un signe "masculiniste" quelconque (avec ou sans phallus).
(Que l’on pardonne mon ignorance. "Féminisme" et "masculinisme" ne sont, ni l’un ni l’autre, un monde que je fréquente. Existe t-il un monde ou mouvement "masculiniste" ?)
Cette femme n’est pas membre d'un parti politique "féministe", mais d'un parti politique écologiste. A mes yeux, elle profite de son étiquette politique écologiste et sa notoriété pour faire passer ses idées "féministes". Ces mélange, détournement et amalgame, de politique, d’écologie et de féminisme sont aussi exécrables à mes yeux.

En plus du "signe du vagin", sur la pancarte est inscrit un autre détournement. Est inscrit :
"Veni Vulvi Vici"
C’est un détournement de la bien connue et laconique formule prononcée par Jules César, en latin : "veni, vidi, vici", signifiant en français "je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu".
L’expression détournée "veni, vulvi, vici" n’a pas vraiment de sens ou de traduction possible. Elle signifierait "je suis venue, j’ai vulvé, j’ai vaincu", soit "par ma vulve j’ai vaincu".
(Vous aurez compris que "vulver" n’est pas un verbe existant).

Reconstitution de la pancarte.
Voilà donc une femme politique qui nous parle de sa vulve, qui serait son arme de puissance, avec laquelle elle aurait vaincu. (Vaincu qui ou quoi ? L’absurdité de la pancarte ne le dit pas).
Cette même personne a fait le "signe du vagin" à l’Assemblée Nationale, qui compte parmi les grandes institutions de la République française.
Que pourrait signifier un tel geste, sinon vouloir l'imposer, s'imposer ?
Cette personne, par ce slogan de mots latins détournés et ce geste, prétend-elle "vaincre" ("vici") des problèmes sociaux, celui des "SDF", l’écologie, la sécurité, l’insécurité, les trafics de drogue, les assassinats, les suicides au travail, les suicides d’adolescents, l’économie, etc. (la liste est longue), tout vaincre à coups de vulve et de vagin ?
C’est incroyablement stupide et ridicule.
Faire un "signe du vagin", parler de sa vulve ("vulvi", "j’ai vulvé"), est d’une rare bassesse. C’est à la fois grotesque et grossier, autant qu’inacceptable et révoltant.

Le "signe du vagin", c’est d’évidence l’équivalent féminin de la "phallocratie", et qui va plus loin que la "phallocratie". Car, aucun mouvement, aucune idéologie politique ne s’est développée en se revendiquant "masculiniste", ou "phallocrate", ou "suprémaciste".
Mon ignorance ne connaît pas de "signe du pénis" ou "des testicules" comme existe et est employé le "signe du vagin" dans le monde géographique et dans le monde social et politique.
Le "signe du vagin" est du sexisme.
De tels actes sont sexistes. Parce qu’ils sont sexistes, ils devraient être sanctionnés.
A mes yeux cette personne politique est totalement discréditée, et pour toujours.

Si vous n’y voyez pas une affection mentale, bien des personnes diraient qu’il y en aurait sans doute.
Si cette personne était un homme, faisant un "signe du pénis" (ou "signe du phallus", ou des "testicules", s’il existait un tel signe), cet homme aurait été probablement blâmé, ou exclu, sanctionné d’une quelconque manière, officielle et/ou officieuse, et qualifié "d’obsédé" (sexuel) ou d’un autre qualificatif relatif à sa santé intellectuelle, en plus d’être traité de tous les noms, "macho", "phallo", etc.
Un tollé aurait été fait, relayé et amplifié par des médias. D’autres entités, actions, recherches (révélées ou dissimulées) n’auraient pas manqué "d’assassiner" (c’est un sens figuré) son image publique et politique, y compris en explorant des voies aussi "assassines" concernant sa vie privée, ses éventuelles richesses, sa situation fiscale, etc.
Mais, lorsqu'une femme fait le "signe du vagin", par démagogie favorable à un prétendu "féminisme", on ne s’attaque pas à cette personne ni au "féminisme". L'événement est minimisé, voire ignoré, ou alors il est soutenu de même que le "féminisme" dont on se fait partisan(e).

Dirait-on encore que le cas de cette femme politique ("signe du vagin", "veni, vulvi, vici") serait un épiphénomène, un cas particulier limité à une personne ?
Dire ceci serait une façon de minimiser des faits et réalités. Observons d’autres cas :

Je ne veux pas leur faire de la publicité, mais je ne peux parler d’elles sans citer leur nom, celui de la formation musicale russe "Pussy Riot" (genre musical punk rock).
"Pussy" en anglais est un mot grossier, vulgaire, qui se traduirait par "chatte" en français. C'est aussi grossier et vulgaire en français, et a le sens de "vagin" ou "vulve". Quant à "riot" il se traduirait par "émeute" en français.
Le nom de ce groupe punk rock n’a pas de sens. Il se traduirait pas "émeute de chatte" ou "émeute de la chatte", ce qui laisse pour le moins perplexe.
Dans cet exemple aussi, ces femmes ont choisi de parler de leurs "chattes" ("pussies", pluriel de "pussy"), et d’en faire leur nom, comme une bannière. Encore un étendard du "féminisme" à l’élévation non au ras de la vulve et du vagin, mais plutôt au ras des pâquerettes.

Le "féminisme", comme toujours, se victimise, se plaint du sexisme exercé par "les méchants hommes". Alors, il faut observer que dans cet exemple, comme en d'autres, cette formation musicale n'est constituée que de femmes.
Lorsqu'il n'y a que des femmes dans un groupe, une association, une activité, un mouvement de sensibilisation, etc., si de fait avoué ou non il n'y a pas d'homme parce qu'aucun n'est désiré, cela s'appelle du sexisme. C'est du sexisme au féminin, du sexisme "féministe".

Le "féminisme" se répand, en Russie dans le cas des "Pussy Riot", un exemple de plus de femmes qui adorent leurs "pussies" ("vulves" ou "chattes").
Le "féminisme" se répand, comme une religion se répand par le prosélytisme.

Les "féministes" ne se font pas la guerre, elle se convertissent ou se contaminent sans frontière. Ainsi, les "Pussy Riot" russes ont leurs homologues américaines les "Thunderpussy", soit en français les "Chatte de Tonnerre" (au singulier).
C’est encore un cas d’adoration et de pensée par la "chatte".
Ces deux exemples ne sont pas les seuls qui pourraient être cités. Mais, les citer leur fait déjà trop de publicité. D’autres exemples ne seront donc pas cités.
Vous n’y voyez aucune atteinte ou affection mentale ? D’autres personnes auraient un avis différent.
En ce qui me concerne, je n’ai jamais entendu parler d’un groupe de rock masculin ou "masculiniste" nommé les "bites de tonnerre" ou "les émeutes de bites", ni même un nom de groupe de rock ou autre formation musicale employant ou faisant allusion à une "bite", un pénis ou des testicules.

Me rétorquerait-on encore que ce serait un épiphénomène limité à quelques cas particuliers ?
Observons d’autres cas.

Des "féministes" prônent aussi la "pussy strike", en français la "grève de la chatte", ou "grève du sexe". Oui, ça existe aussi.
La "pussy strike" est supposée être employée pour ceci et/ou cela, pour demander la paix, ou la justice, ou autre chose. Et, surtout, elle est supposée faire pression sur les hommes, en les privant de "pussy", "chatte".
Ci-dessous un exemple de panneau "ni peace no pussy", "pas de paix, pas de chatte". Il dit aussi "sex strike" soit "grève du sexe" et proclame "feminism" soit "féminisme".

Exemple de panneau reconstitué.

Ce panneau n’est pas un original, mais la reconstitution d'autres semblables et bien réels. Des versions existent avec seulement "sex strike", ou "pussy strike", "p*ssy strike", etc.
D’autres variantes encore emploient, par exemple, "feminist protest", "contestation féministe".
Parfois le mot "strikes" est ainsi écrit, avec un S à la fin. Dans ce cas, "pussy strikes" peut être un jeu de mots pouvant signifier "grèves du sexe" et aussi "la chatte frappe".

La vulve, le vagin ou "pussy", "chatte", n’est pas le seul attribut de leur féminité que les "féministes" exhibent et emploient. Pourrait-on ignorer ou oublier celles qui, avec des cris hystériques, manifestent seins nus, leur poitrine employée comme un tableau sur lequel sont écrits des slogans "féministes", ou d’autres slogans ?
Ces femmes font de leur corps un objet, un tableau, pancarte ou panneau, alors que leurs aînées ont mené des luttes sociales pour que les femmes ne soient plus considérées ni traitées comme des objets sexuels (sans personnalité ou âme).
Pourquoi exhibent-elles leurs seins pour exprimer quelque chose ?
Je n’y vois que, comme je l’ai écrit, de l’exhibitionnisme, c’est peut-être leur première motivation, avouée ou non avouée y compris à elles-mêmes.
Qu’il s’agisse de manifestantes seins nus ou non, je n’y vois que de la grossièreté, de la vulgarité, très souvent de l’agressivité, et aucune élévation.
Quelques-unes de leurs aînées "féministes" voulaient pourtant que "les femmes" sortent du rôle d’objet sexuel, de "potiche" (une personne de peu d’intérêt, "décorative", comme un vase), et montrent qu’elles ont, en différents domaines, autant d’intellect et d’aptitudes que les hommes.
Si le "féminisme" n’avait que ces dernières idées et buts, je serais "féministe", bien que le terme me déplaise fortement. Car, en lui-même le terme "féminisme" m’apparaît sexiste. "Féminisme" sonne "supériorité féminine" autant que le "machisme", c’est à dire le "masculinisme", sonne "supériorité masculine" (définitions très résumées).

Autre exemple de panneau (reconstitution).

Ce dernier exemple est aussi reconstitué d’un réel panneau qui réclame "equality", l’égalité. Mais, dans le panneau réel (comme dans cette reconstitution) il n’y a que le signe de la féminité : . Le signe de la masculinité n’y est pas.
Pour l'égalité qu'il prétend porter, un tel panneau devrait comporter un signe associant les deux symboles (féminin et masculin), soit un symbole tel que celui-ci : , avec au centre le signe = "égal" ("égalité").

Ce panneau est caractéristique d’un aspect fallacieux du "féminisme" qui, avec subtilité, dissimule sa réelle misandrie, et, au contraire de la misandrie, montre une belle image en employant un argument et mot attirant, tel que "equality", "égalité", en cet exemple.
Mais, la réelle pensée, connue de "féministes" qui peuvent comprendre le codage d'un tel panneau, c'est "ignorer les hommes" (ils ne sont pas représentés sur ce panneau, mais évincés).
"Les hommes on s'en moque. On ne s'en occupe pas". C'est "égalité sans les hommes".
Il est absurde de vouloir être égales aux hommes (sans les nommer) et "sans les hommes" (absents du panneau). C'est l'absurdité d'une vitrine mensongère, qui se trahit elle-même.

Cette omission du symbole de la masculinité n’est sûrement pas le fruit du hasard.

Beaucoup d’autres panneaux existent, portant notamment les mots "pussy power" "puissance de la chatte" ou "pouvoir de la chatte", comme d’autres portent les mots "girl power" ou "girls power", soit "le pouvoir aux filles" ("aux femmes").

L’emploi des attributs féminins (anatomiques) dans le "féminisme" ne fait aucun doute. Cet emploi est forcément le fruit de la pensée "féministe".


Ces observations faites, qui, à présent, en 2023, a l’esprit dans la culotte ?
(Cf. ce qui précède : "ils (les hommes) ont l’esprit dans la culotte").

Les hommes pensent-ils avec leur "bite", ou des femmes pensent-elles avec leur vulve, leur "chatte", et en exhibant aussi leurs seins ?
(Cf. ce qui précède : "ils (les hommes) pensent avec leur bite").

Je n’ai jamais vu d’homme manifester en exhibant ses testicules ou son pénis avec des slogans écrits dessus (ou au-dessus, pour une question pratique, de surface).

Après leurs seins, d’autres vont-elles aussi manifester en exhibant leur "pussy", "chatte", plutôt que faire le "signe du vagin" ?

On n’a pas encore vu de manifestation avec les fesses. Certaines vont-elles s’exprimer avec leurs postérieurs, aussi ?
Peut-être pas, parce que hommes et femmes ont des fesses. Les "féministes" préfèrent ce qu'elles n'ont pas de commun avec les hommes, comme leurs seins, vulves, vagins, qu'elles n'ont pas manqué d'employer.

Auront-elles aussi et encore des mandats politiques ?
Vont-elles régler les problèmes du monde à coups de misandrie, de grossièretés, d’agressivité, et de vulve ?
(Cf. ce qui précède, femme politique française brandissant un panneau, "veni, vulvi, vici", "je suis venue, j’ai "vulvé", j’ai vaincu").
Le niveau de la politique est-il tombé là ?
Manifestement, oui, au ras des pâquerettes (cf. ce qui précède). Il y a déjà au moins une personne, deux cas réels (cf. ce qui précède, signe du vagin dans une institution politique, et dans l'espace public une pancarte écrite "veni vulvi vici").
(Je ne connais pas tous les cas semblables).

Le culte du corps, dans le "féminisme", se retrouve encore dans les slogans biens connus "my body (my choice)" et ses dérivés, "mon corps (mon choix)", "our body (our choice)", "nos corps (nos choix)". C’est toujours le corps féminin qui est mis en exergue, qui occupe une place si importante, dans les pensées, les slogans, les actions (seins nus, "signe du vagin", etc.).

Je ne peux y voir qu’une sorte de culte de la féminité, une adoration de leur propre corps, devenu objet de fierté, objet d’admiration, et exhibé comme d’autres manifestent avec un livre de culte brandi, ou une croix élevée, une bannière, etc.

Ces "féministes" parlent des autres femmes en les disant leurs sœurs, parlent de "sororité" jamais de fraternité (des définitions suivent).
Le choix et l’emploi de "sœur" fait penser au christianisme, aux premiers Chrétiens qui s’appelaient "mon frère", "ma sœur", ce qui les distinguait à cette époque. "Mon frère", "ma sœur" s’emploie encore aujourd'hui. Le "féminisme" n’a retenu que "ma sœur". Cependant, c’est une analogie de plus avec un culte, une religion, celle majoritaire dans les sociétés dites "occidentales" où serait né le "féminisme".

Sous prétexte de "sororité" certaines de ces "féministes" prétendent soutenir les autres femmes du monde, "leurs sœurs" en Iran, par exemple. Quant aux hommes, qui peuvent aussi subir des régimes politiques, ils sont ignorés dans les slogans, idées et idéologies "féministes".
Pourtant, les hommes subissent aussi, voire davantage dans certains cas. Ce sont plus souvent des hommes qui sont arrêtés, jugés, mis à mort et tués. Car certains régimes politiques et/ou religieux tuent plus rarement des femmes que des hommes. Les femmes subissent elles aussi, mais autrement, et plus rarement par la peine de mort pour des raisons politiques.
Hommes et femmes subissent.
Parler de "sororité" ignore volontairement une partie de l’humanité.
Parler ainsi de "sororité" n’est pas humain.
En fait de soutenir "leurs sœurs", les prétendues "féministes" des pays dits "occidentaux" font plutôt de la récupération politique à leur profit, voire de l’ingérence politique dans des systèmes étatiques et/ou religieux auxquels elles ne connaissent que peu de choses. Elles sont mues par une volonté d’implanter leurs culture et idéologie, essentiellement "occidentales". J’y vois une autre forme de colonisation, issue de la culture dite "occidentale", une volonté de s’étendre dans le monde, quitte à éliminer toute autre pluralité culturelle et humaine.
Heureusement, des femmes ne se laissent pas tromper. Il est déjà arrivé que des prétendues "féministes" soient huées et rejetées par des manifestantes, leurs "sœurs", lors de manifestations contre des états ou régimes politiques ou religieux.

Définitions :
Fraternité :
1/ Selon le dictionnaire en ligne de l’Académie française : lien de parenté qui unit les enfants issus des mêmes parents.
2/ Selon un autre dictionnaire en ligne : lien de parenté qui unit les enfants, frères et sœurs, nés des mêmes parents.

Sororité :
1/ Selon le dictionnaire en ligne de l’Académie française : définition non trouvée. La recherche propose "sonorité" (pas de rapport avec le sujet occurrent).
2/ Selon un autre dictionnaire en ligne, trois définitions possibles :
D1 : organisme, association, à caractère religieux, entre femmes voulant vivre de façon sororale. (Sororale : (rare), relatif à la sœur, aux sœurs.).
D2 : organisation semi-secrète d’étudiantes américaines.
D3 : pendant féminin du sentiment de fraternité.

La D1 est du domaine religieux. J’ai écrit ci-avant "culte de la féminité", "adoration" du corps (féminin). Je n’étais pas dans l’erreur.

La D2 concerne un cas particulier qui ne serait pas majoritaire.

La D3 renvoie à la fraternité, que le "féminisme" n’emploie pas, ne veut pas connaître ou reconnaître (mais uniquement "sororité"). Les "frères" sont ignorés par le "féminisme", s’ils ne sont pas fustigés, ou pire encore.

Pour rappel (de ce qui précède) :
Parler de "sororité" ignore volontairement une partie de l’humanité.
Parler ainsi de "sororité" n’est donc pas humain.

Que ce prétendu "féminisme" ne parle plus au nom "des femmes", de toutes les femmes. Qu’il s’éteigne de lui-même, disparaisse et ne parle plus du tout, serait encore mieux.
Je n’y vois rien de sain, mais bien le contraire, des pensées, actions, manifestations, propagandes malsaines d’esprits perturbés, manipulés, déséquilibrés, de personnes très agitées, déshumanisées (puisque la partie masculine de l’humanité est ignorée, jusqu’à haïssable, voire pire peut-être).
Ces personnes (hommes et femmes, car il y a des hommes qui se disent "féministes") répandent dans le monde leurs idées, auxquelles d’autres personnes adhérent pour différentes raisons (chaque cas est différent. Outre les raisons individuelles, concernant les cas collectifs il peut s’agir de soulèvement contre un régime, éventuellement religieux, ou un comportement grégaire comme lors de manifestations politiques, sportives, émeutes, etc.).

Il y a certainement encore bien des améliorations à apporter pour que des femmes ne soient plus écartées de certaines positions professionnelles, sociales, politiques, etc. comme elles l’ont été, et aussi pour qu’elles ne soient plus des objets sexuels et victimes d’agressions sexuelles. Etc.
Mais, ce n’est pas avec un prétendu "féminisme" misandre, ni avec des actions et manifestations de personnes aux allures d'excitées, hystériques déséquilibrées, grossières, vulgaires, agressives, ni avec un esprit de revanche contre les hommes, ni avec une inversion des rôles et des problématiques, que l’avenir pourrait être bien construit.

Ni "féminisme" ni "masculinisme", mais une société équilibrée, en bonne santé intellectuelle, en laquelle toutes les personnes respectent les autres, hommes et femmes, femmes et hommes, en laquelle toutes les personnes s’apprécient, en laquelle toute personne trouve bonne place, la bonne place étant celle que chacun, chacune, veut pour lui-même ou elle-même, sans que ce soit inaccessible à cause d’un code social, et sans que ce soit un choix dicté par un code social, le "féminisme" étant compris parmi les codes sociaux.
(Pour tout métier, toute position sociale, etc. il faut toutefois avoir l’aptitude nécessaire. Par exemple, qui voudrait être musicien ou musicienne, chanteur ou chanteuse, etc. doit avoir l’aptitude requise par le métier. Ce n’est pas une question de genre masculin ou féminin. Ne pas "crier à l’apartheid" pour tout prétexte. Toute femme ne pourrait prétendre devenir ténor, comme tout homme ne peut prétendre devenir ou rester soprano, en sus des autres aptitudes lyriques).

Avant de vous dire "féministe", considérez ce qui précède. Ne vous laissez pas entraîner par une démagogie ambiante, un courant de notre époque.
Demandez-vous si vous ressemblez, ou voulez ressembler, à tous ces aspects du "féminisme" qui sont décrits dans cette page internet. Car, comme déjà écrit (notamment dans la partie en date du 5 février 2023, vers le bas de cette page), la confusion règne en ce mot "féminisme".
De plus, le féminisme d’hier n’est pas identique à celui d’aujourd’hui.
Hier comme aujourd’hui, les termes "féminisme", "féministe", peuvent désigner bien des aspects, tendances, pensées, idées, idéologies, actions, etc. qui ne vous correspondent pas, avec lesquelles vous n’êtes pas d’accord, en tout ou en partie.
Parce que la confusion règne, se dire "féministe" sans plus de précision peut ne plus avoir de sens, ou ne pas être vous.

Je n'aborde pas ce sujet et ces cas sociaux pour la première fois. Ils étaient déjà présents dans mon roman "Les Miséreux", que j'avais commencé à écrire en l'an 2000. Dans le tome III du roman, j'avais appelé la "mammocratie" (de "mamelle") le phénomène et les problèmes posés par le "féminisme". Je dénonçais cette "phallocratie au féminin" (devenue donc "mammocratie").
De même, les "machos au féminin" étaient des "machas".
Aussi, une capitale européenne accueillait un congrès international, que j'avais nommé "congrès des Sœurs du Même Utérus".
Ce roman était une fiction, une anticipation, et la réalité d'aujourd’hui démontre que je n'étais pas dans l'erreur. La réalité a même dépassé ma fiction. La "mammocratie" (ou "mamocratie") est dépassée par ce qui pourrait être nommé la "vaginocratie", ou "vulvocratie" (ou encore la "vulgarocratie" pour la vulgarité). Et, "les Sœurs du Même Utérus" se retrouvent dans la "sororité", le "signe du vagin" etc., en résumé dans l'adoration et l'utilisation des attributs anatomiques féminins, et aussi dans cette caractéristique volonté fusionnelle entre "sœurs" "toutes sorties du même utérus" (ce qui en fait des "sœurs". Ce mot "sororité" est réellement employé, ce n'est plus une fiction).
(Concernant l'orthographe de "mammocratie", j'ai choisi de l'écrire avec deux lettres M, comme "mammographie". Cependant, puisqu'il provient de "mamelle" il peut aussi s'écrire avec une seule lettre M).

Il est temps de comprendre qu'il y a "féminisme" et "féminisme".
(Se référer à ce qui est écrit en cette page).
Le "féminisme" peut aussi être, et est aussi, une honte pour notre époque, pour l'humanité, pour la civilisation.

Femme ou homme "féministe", ayez le courage de ne pas ou ne plus l’être, et le courage de l’affirmer. En plus du courage, vous ferez aussi preuve de discernement.

Merci pour l’attention que vous avez portée à ce qui précède.



7 mars 2023.
Le mot "féminicide"

"Féminicide". Les médias nous tarabustent, nous matraquent l'esprit en employant ce mot à chaque fois qu’une femme est tuée.
Outre ces drames, d’une manière plus générale, les médias se servent de leur position pour faire passer leurs idées. Le plus souvent, il s’agit des idées d’un média tout entier. Cela s'appelle une "culture d’entreprise". Malheur à l’employé/e qui ne s’y soumet. D’autres fois, il peut s’agir de la prise de liberté d’une personne dans un média, qui emploiera insidieusement un mot plutôt qu’un autre, et qui recommencera d’une manière ou d’une autre, jusqu’à être "repérée" (et malheur à elle éventuellement).
Du fait d’une ou plusieurs personnes, d’une manière ou d’une autre, malheureusement les médias manipulent, perturbent les idées, et ainsi "formatent" les esprits.
Et une immense majorité les suit, comme des moutons suivent le troupeau, et sans réagir, ce qui est compréhensible puisqu’en cette majorité nul ne réfléchit, mais "gobe" en pleine crédulité, et se laisse ainsi mener, vide d’esprit de discernement.

Sauf à exclure les femmes du genre "homo",
(il ne s'agit pas d’homosexualité mais du genre "homo" dans le sens de "humain", car nous sommes des "homo sapiens" selon la terminologie scientifique),
le meurtre d’une femme est un "homicide", mot en lequel nous retrouvons les lettres "hom", comme dans le genre "homo", soit "humain".
Parler d’autre chose, comme d’un "féminicide" en remplacement de "homicide", pourrait équivaloir à nier le caractère humain des femmes.
"Féminicide", un prétendu "féminisme" serait à l’origine de ce terme, pour distinguer les femmes. Quelle mauvaise idée ! Quel mauvais choix !
Depuis toujours, soit des millions d’années, le genre humain est composé de mâles et de femelles, de femmes et d’hommes.
Seules des idées soi-disant "modernes" s’expriment depuis quelques décennies comme pour distinguer deux humanités, ou, en cet exemple, distinguer les femmes du genre humain en parlant de "féminicide" à la place de "homicide".

S’il y a "féminicide", il devrait alors y avoir un équivalent masculin. Mais il n’existe pas.
Si toutefois il existait, nul ne l’a jamais entendu.

Je ne vois aucun bien, aucun bon avenir, à de telles idées qui font malheureusement chemin depuis des décennies, et sont déjà bien trop implantées.
Je n’ai pu observer que des femmes rendues de plus en plus agressives à l’égard des hommes, même agressives en général, mais sans qu’elles en aient bien conscience, et qui transmettent et perpétuent de telles idées à des générations suivantes, qui, ces dernières, vivent dans une société elle-même "formatée" à ces idées.
Nous ne sommes plus dans le domaine de la réparation des injustices faites aux femmes (tel, par exemple, le droit de vote, le même salaire que les hommes, etc.), ou la réparation pour intégrer les femmes où elles ne l’étaient pas.
Avec de tels mauvais choix, nous sommes dans un domaine qui semble vouloir créer une sorte de monde parallèle, féminin, en lequel les hommes sont désignés comme la source de tous les maux que les femmes auraient subis, malheureuses victimes, seulement et toujours victimes, victimes des hommes, des hommes qui portent toutes les responsabilités et fautes.
Ces derniers aspects forment un stéréotype et leitmotiv (refrain) de l'idéologie "féministe".
Quel serait l’avenir de telles idées prétendues "féministes" ?
Comment hommes et femmes devraient-ils vivre à l’avenir ?
Quel est le programme, si ce prétendu "féminisme" en a un ?
Les hommes sont-ils honnis et à honnir pour l’éternité ?
Un monde exclusivement féminin devrait-il exister ? Suprémaciste ? Un monde d'amazones ?
(Amazones : femmes guerrières mythologiques, qui auraient vécu entre femmes. Selon ce mythe elles tuaient leurs enfants mâles ou les mutilaient pour en faire leurs esclaves).

"Féminicide", que les médias emploient tant et tant, à tort et à travers, quel est ce mot ? D’où vient-il ? Quelle est sa définition ?
Différentes sources s’approprient la paternité, la maternité du terme (paternité est rayé, ce terme n'a pas de père).
La francophonie s’est trouvé des sources remontant jusqu’au 17ème siècle pour la plus ancienne (sous le terme de "femmicide").
Mais, le terme actuellement employé viendrait de l’anglais, et serait bien plus récent. Il ne remonte pas plus loin que les années 1970.
C’est en effet en 1974 que le terme "femicide" aurait été inventé, mais employé et popularisé quelques années plus tard (en 1980) avec la définition suivante :

"Meurtres de femmes commis par des hommes parce ce que sont des femmes."

Je ne sais pourquoi tout est au pluriel. J’ai trouvé cette définition ainsi écrite.
Si j’avais eu à rédiger cette définition (mais, c'est peu probable, car j'aurais refusé de collaborer) je l’aurais plutôt écrite au singulier et de cette façon :

"Meurtre d’une ou plusieurs femmes, commis par un ou des hommes, parce ce que sont des femmes."

Telle que je l’ai trouvée écrite, cette définition ne pourrait s’employer que si plusieurs femmes ont été tuées, ET si elles ont été tuées par plusieurs hommes.
Ainsi, selon la définition donnée en 1974 :
Si un homme a tué une femme, cette définition n’y correspond pas.
Si un homme a tué plusieurs femmes, cette définition n’y correspond pas.
Si un homme a tué plusieurs femmes, mais une seule a été tuée parce que c’est une femme, cette définition n’y correspond pas.
Si plusieurs hommes ont tué plusieurs femmes, mais une seule a été tuée parce que c’est une femme, cette définition n’y correspond pas.

Je trouve cette définition pour le moins mal pensée, autant que mal rédigée.
Malgré cela, elle précise un point important : les femmes tuées le sont pour une seule et unique raison : elles sont tuées parce que ce sont des femmes (aucune autre raison sinon celle-ci).
Ainsi, cette définition exclut tous les autres cas, tels, par exemple, la vengeance (pour une raison ou une autre), un meurtre de représailles entre personnes malhonnêtes (dit "règlement de comptes", entre "truands"), le crime dit "passionnel" (jalousie), etc.
S'il y a une quelconque autre raison (comme les exemples ci-avant, vengeance, etc.) ce n'est alors plus un "féminicide".

La définition actuelle n’est pas meilleure. Elle peut varier selon les pays, dans le langage courant et le jargon juridique. Cependant elle reste très semblable.
NB : dans le dictionnaire de l’Académie française, les mots "féminicide", "femmicide", "femicide", n’existent pas (à ce jour, 7 mars 2023) (cf. explications qui précèdent, et notamment : mot anglais, inventé, et qui tente de se substituer à "homicide").
Cependant, malgré cette absence compréhensible du dictionnaire français, certains dictionnaires francophones ont intégré "féminicide" (ce qui s’apparente à de la démagogie).
En ces dictionnaires (que je ne citerai pas pour ne pas en faire la promotion) les définitions sont :
- "Meurtre d’une femme, d’une jeune fille ou d’une enfant en raison de son sexe."

- "Meurtre d’une femme ou d’une jeune fille, en raison de son appartenance au sexe féminin. Crime sexiste, le "féminicide" n’est pas reconnu en tant que tel par le Code pénal français."

- "Meurtre d'une femme, d'une fille en raison de son sexe."

Cette liste n’est pas exhaustive, cependant, dans tous ces exemples la définition actuelle est claire : il s’agit de femmes ou filles tuées parce qu’elles sont du sexe féminin. C’est la seule et unique raison de leur assassinat.

Donc, suivant ces définitions, d’une rare stupidité, tout ce qui est appelé "féminicide" dans les médias et/ou le langage courant n’y correspond pas. Car, pour employer ce mot, "féminicide", il faudrait démontrer, que les filles ou femmes tuées l’ont été pour l’unique raison de leur féminité.
Or, pratiquement aucun cas réel n’y correspond.
Et si toutefois un ou des hommes étaient aussi abrutis, stupides, insensés, monstrueux, au point de tuer une ou des femmes pour la seule raison de leur féminité, ce serait alors un "génocide", un "crime contre l’humanité", ce qui renvoie à d’autres définitions, peines, procédures, etc. déjà existantes, que "féminicide" ne saurait remplacer.

Le terme de "féminicide" semble avoir été inventé sans prise de recul, sans réflexion, sans savoir, sans projection à propos de ses implications, sans projection dans l’avenir.
Depuis son invention dans les années 1970, il semble être né d’une volonté farouche de quelques femmes contre le genre masculin qu’elles voulaient culpabiliser, accabler de toutes les fautes, tout en rendant toutes les femmes victimes et innocentes de toute faute.
Nous sommes dans ce cas, encore une fois hélas, face à de la misandrie.
Ce n’est pas du "féminisme", mais c'est du "féminisme". C'est à dire que c'est aussi cela la réalité du "féminisme".
Ce n'est pas du "féminisme défensif" qui chercherait à rétablir un droit pour les femmes. C'est du "féminisme misandre" qui cherche à distiguer les femmes, comme pour se séparer des hommes, du genre "homo", soit "humain", à l'origine et composant le mot "homicide" (cf. explications qui précèdent).

Émotionnellement touché par des cas de meurtres de femmes, le monde a accepté sans discernement ce mot "féminicide", et l’emploie à tort et à travers, à chaque fois qu’une femme est tuée, sans même que le cas corresponde à la définition qu’un prétendu "féminisme" lui a donné.
Or, et pour rappel : le meurtre d’une femme, comme celui d’un homme, n'est pas un "féminicide", mais un "homicide", parce que femmes et hommes sont du genre "homo", soit "humain".

Quant aux médias, ils nous polluent les informations et les idées en employant n’importe quel terme, n’importe comment, sans plus de discernement ou d’instruction du sujet. C’est aussi par démagogie (commerce et "audimat" obligent), et/ou par prise de position partiale, ce qui n’est pas brillant, mais le contraire.
Les médias nous lancent des informations telles que "encore un féminicide", "c’est le énième depuis le début de l’année". C’est tout.
Pourtant, des questions se posent.
Quelles sont les raisons de chacun de ces dits "féminicides" ?
Quels points communs y aurait-il entre eux ?
S’il y en a, quels sont-ils ?
Quel sociologue les auraient étudiés pour les comprendre et les expliquer ?
Y aurait-il un phénomène mimétique qui reproduirait ces dits "féminicides" ?
Y aurait-il une cause ou facteur social, ou plusieurs, sur lesquels se pencher pour y apporter des solutions ?
Les hommes ne sont-ils que coupables, les seuls et uniques coupables, coupables de tout et dans tous les cas ?
Etc.
Bien des questions se posent, que n’ont pas posées les médias, malgré les heures de débats stériles, d'où rien ne sort, que les médias organisent pour combler des heures d'antenne.
La qualité informative des médias est d'une autre époque. Elle est souvent désolante. Les pouvoirs publics sont encore pires. Et le prétendu "féminisme" n’arrange rien, au contraire (cf explications en cette page internet).
Le prétendu "féminisme" n’a fait que dresser des femmes contre les hommes, plutôt que proposer, avec volonté d'équilibre et de paix, des solutions aux problèmes.

Il ne s'agit pas seulement d'une simple question de vocabulaire mal employé, à propos de mots comme "patriarcat" ou "féminicide". Le "féminisme" est aussi une idéologie, un ensemble d'idées qui ont pour volonté de piloter des femmes, des institutions, marquer la vie sociale, etc. En cette idéologie certains aspects peuvent faire penser aux religions (le culte du corps et de la féminité. Ce sujet sera développé ultérieurement).
L'idéologie féministe a implanté sa marque jusqu'à des niveaux internationaux, comme, par exemple, l'institution d'une "journée internationale des femmes" (selon l'appellation officielle de l'ONU), ou "journée internationale des droits des femmes".
Il existe même une "ONU femmes" (oui, ça existe).
Existe t-il des équivalents pour les hommes ?
Comment peut-on accepter qu'il y ait un "droit des femmes" que n'auraient pas les hommes ?
Où est la parité ? Où est l'égalité ? Pourquoi y aurait-il un droit spécifique aux femmes, et pas un seul et même droit pour tout le monde ?
Parité et égalité sont censés être du domaine de "l'ONU femmes". Au nom de la parité et de l'égalité, existe t-il une "ONU hommes" ?
Et si oui, pourquoi devrait-il exister une "ONU femmes" et une "ONU hommes" ?
Va t-on encore avancer dans cette direction, comme s'il y avait deux humanités ?
Est-ce que le monde réfléchit ?
A l'ONU, il est clair pour moi que non. Je ne peux avoir une bonne opinion de cette institution. Pour moi, elle est à remplacer.
Le "féminisme" a désorienté le monde, et le dirige encore dans une mauvaise direction, une direction sexiste. Et le monde est aveugle.

Lorsque je lis ou j’entends des slogans "féministes" tels que :
"A bas le sexe fort ! A mort ! A mort ! A mort !"
Ou sa variante :
"Mort au sexe fort ! A mort ! A mort ! A mort !"
On est clairement hors d’un prétendu "féminisme", et clairement dans la haine du genre masculin, dans la misandrie, et même dans l’appel au meurtre.
Comment faudrait-il l’appeler ? "Hommicide" ? "Masculicide" ? "Androcide" ?
Un tel appel au meurtre n'est-il pas répréhensible ? Que prévoit ou fait la justice pour lutter contre de tels propos et propagation de telles idées ?
Et lorsqu'un homme est insulté, par "macho" le plus souvent, que prévoit ou fait la justice pour lutter contre de tels propos, comportements, attitudes ?
Rien.

Je ne connais pas chez les hommes une telle haine des femmes, comme le "féminisme" hait les hommes. Je n’ai jamais lu ou entendu chez les hommes de tels slogans contre les femmes.
Le "féminisme" n’est souvent que de la misandrie, et rien d’autre, tout en prétendant le contraire.
Le "féminisme" a fait assez de mal dans le monde. Il est déjà temps d’en finir avec ce problème social, et passer à autre chose, passer à mieux, et rendre justice aux femmes là c'est encore à faire.
Car, on ne peut nier que des femmes ont subi des frustrations et injustices, et il faut s’efforcer de les réparer. Mais, ce n’est pas avec un prétendu "féminisme", si pourri de misandrie, de haine et d'agressivité que l’on le pourrait.

"Féminisme" sonne "suprémacisme" (lire ce que j’ai écrit à des dates précédentes).
Un bon avenir ne peut se trouver dans le masculinisme (supériorité masculine) ni dans le féminisme (supériorité féminine).

Heureusement, toutes les femmes ne sont pas ainsi dressées par le "féminisme".
Dieu merci, il reste de l’espoir. Il n’y en aurait plus si l’on n’écoutait que le "féminisme".



20 février 2023.
Le mot "patriarcat"

Je fais suite à mes posts du 12 janvier 2023, 5 février 2023, 12 février 2023. Le sujet occurrent est celui d’un mot de vocabulaire : le "patriarcat".

C’est un mot que certaines tendances ou aspects d’un prétendu "féminisme" aiment répéter pour le fustiger.

Qu’est-ce que le patriarcat ?
Patriarcat vient de "patriarche". Le patriarcat est la position sociale d’un patriarche.

De même qu’existe "patriarcat", existe aussi "matriarcat". Le matriarcat est la position sociale d’une matriarche.

Qu’est-ce qu’un patriarche ? Qu’est-ce qu’une matriarche ?
Au sens propre, c’est un père, une mère, aïeul, aïeule, d’une famille, voire d’une nombreuse descendance, voire d’une ethnie, un peuple. C’est le cas dans le sens biblique de ces mots.

Car, patriarche a aussi, voire d’abord, un sens religieux. Dans les religions bibliques, les patriarches se résument essentiellement à trois personnages principaux :
אברהם יצחק יעקב
Abraham, Isaac, Jacob (le nom de ce dernier a ensuite été changé en Israël, par la volonté divine).

La Bible parle aussi de matriarches. Les épouses des ces deux premiers patriarches, étaient :
שרה רבקה
Sara, Rebecca.
Abraham eut d’autres femmes, comme הגר Agar l’Égyptienne, et d’autres, notamment après le décès de Sara.
Mais, la Bible se resserre sur l’histoire d’Israël. Cette histoire est aussi constituée de matriarches, elles aussi citées par la Bible.
Elles furent quatre femmes, quatre mères des enfants d’Israël :
לאה רחל בלהה זלפה
Léa, Rachel, Bilha, Zilpa. (Ces noms sont ceux des traductions traditionnelles, mais, en réalité, les bonnes prononciations sont peut-être différentes. C’est un autre sujet).

Par extension, un "patriarche", une "matriarche", est une personne qui a donné une descendance importante, ou qui a eu une longévité importante.
Par extension encore, ce peut être une personne qui en dirige d’autres du fait de son savoir et/ou expérience.

Un patriarche, une matriarche, sont donc des personnages respectables, et à respecter.

Fustiger le "patriarcat", comme le fait un prétendu "féminisme", foule aux pieds (méprise, piétine), salit et insulte des personnes respectables, seulement des hommes, jamais des femmes.
Ce n’est pas du "féminisme". C’est de la misandrie, prétendue "féminisme".

Ce prétendu "féminisme" détourne les sens des mots, les manipule, et manipule les esprits.

Ce que ce prétendu "féminisme" veut fustiger, c’est le "masculinisme". "Masculinisme" est le mot qui convient.
"Masculinisme" a été remplacé par "patriarcat", peut-être par erreur ou ignorance, ou, peut-être aussi, par volonté d’attaquer la Bible.
Car, certaines branches, ou tendances, ou idées "féministes" croient et/ou prétendent que la Bible serait responsable de tout ce que les femmes auraient "enduré" (selon elles), et de tout temps.
Il m’est personnellement arrivé (en plusieurs années) d’entendre qu’Abraham serait le père de tous les "maux" "endurés" (selon cette autre thèse) par toutes les femmes, jusqu’à nos jours.
L’argumentaire entendu était arbitraire, interprétatif, très subjectif et "tiré par les cheveux" (expression signifiant "explications peu claires ou probables, pour amener à des conclusions forcées").

Plus généralement, ces branches ou tendances qui se disent "féministes", croient aussi que la culture judéo-chrétienne, et les modes de vie dans les cultures occidentales et/ou judéo-chrétiennes, sont les mêmes partout dans le monde.
Mais, le monde entier n’est pas "occidental", ni de culture judéo-chrétienne, ni même biblique. Une énorme partie de l’humanité est hindouiste ou bouddhiste. Ces deux religions ne sont ni occidentales ni bibliques. Abraham, la Bible, la culture biblique et les religions bibliques ne sont pas en ces sociétés, ne les ont pas influencées.
Imputer à Abraham, ou la Bible, tout ce que les femmes asiatiques auraient "enduré" (selon ces thèses) est absurde.
Abraham "a le dos large" (expression signifiant qu’on lui impute bien des fautes). Il est facile d’accuser un personnage qui n’est plus, et facile de torturer une histoire en lui donnant des interprétations selon ce qui convient à une idéologie.

La Bible a pourtant ses "féministes", contrairement à ces idées prétendument "féministes" de nos jours (qui attaquent aussi "le serpent de Bible", autre prétendue cause de tous les maux des "pauvres femmes victimes des sales et méchants hommes et de la Bible).
Dans la Bible, les filles d’un personnage nommé צלפחד Tsélof’had ont demandé une part territoriale en héritage de leur père défunt. Moïse ne les a pas repoussées, ni repoussé leur demande. Il a soumis leur demande à Dieu, et Dieu leur a accordé ce droit (lire le livre des Nombres, chap. 27, v. 1-11, ce cas implique aussi un autre et plus complexe sujet portant sur la transmission territoriale).
Sans parler de "féminisme", l’on ne peut ignorer aussi d’autres personnages féminins bibliques, comme מרים Myriam, sœur de Moïse et prophétesse (Exode, chap. 15, v. 20), ou encore דבורה Débora prophétesse et juge parmi les Juges d’Israël (livre des Juges, chap. 4, v. 4).
L’histoire d’Israël et la Bible étaient féministes bien avant le "féminisme", qui n’a pourtant pas manqué de les attaquer.
NB : la partie du "jardin d’Éden" et du "serpent de la Bible" est un récit pour le moins douteux, un conte inventé, probablement inséré dans la Bible par le judaïsme ou ses prédécesseurs les Pharisiens. Je n’ai pas encore pu écrire sur ce sujet. C’est un autre sujet.

L’un des problèmes, parmi tout ce qui est regroupé sous l’appellation "féminisme", se trouve aussi dans le fait que des femmes prétendent parler au nom de toutes les femmes, les femmes du monde entier, même celles qui n’ont rien demandé, même celles qui ne sont pas d’accord mais ne l’ont pas exprimé.
Ces femmes qui parlent au nom de toutes les autres, parlent aussi au nom des femmes de tous les temps, et comme si aucune n’avait été heureuse, mais comme si toutes n’avaient été qu’écrasées par le "patriarcat", et malheureuses victimes du "patriarcat".

Tout cela n’est pas du "féminisme". Parler au nom de toutes les femmes est s’ériger au dessus des autres, et s’ériger de manière autoproclamée.
C’est une volonté hégémonique, voulant régner sur toutes les femmes, et, bien sûr, sur les hommes.
C’est aussi une volonté expansionniste (puisqu’elle parle au nom de toutes les femmes du monde), qui aimerait étendre au monde entier son idéologie prétendue "féminisme", voire imposer un "matriarcat mondial" si c’était possible.
Or, remplacer le "patriarcat" par le "matriarcat" ne ferait qu’inverser un problème prétendument dénoncé par le "féminisme".
Tout cela n’est pas du "féminisme", mais, encore une fois, de la misandrie, une volonté suprémaciste basée sur le genre, un mal comme le racisme est basé sur la race.

Malheureusement, bien d’autres femmes suivent ces prétendues "féministes" qui parlent au nom de toutes. Parmi celles qui suivent, certaines sont leurrées. Certaines autres n’osent se distinguer, encore moins s’opposer.
Qui le pourrait devant cette virulence prétendue "féminisme" ?

Ainsi, en parlant au nom de toutes les femmes, des femmes dominent d’autres femmes, toutes celles qui n’ont rien demandé, n’expriment pas leur désaccord, ou n’osent le faire, ou ne savent comment le faire, on n’ont pas compris l’importance de l’exprimer.

Irrespect, ignorance, agressivité anti masculine (misandrie), idéologie suprémaciste (matriarcat), volonté hégémonique et expansionniste, etc. malheureusement cette liste n’est pas exhaustive.
Si le prétendu "féminisme" se débarrassait de tout ou partie de ces réalités, il n’en serait que plus crédible, et l’avenir moins malsain.
Espérons même l'avenir plus sain.



12 février 2023.
Un exemple de sexisme,
d'accusation des hommes
et de victimisation des femmes


Je fais suite à mes posts du 12 janvier 2023 et 5 février 2023.

Les mots qui suivent sont tirés d’une chanson :

"Si les hommes n'étaient pas si pressés
de prendre maîtresse"
Fin de citation.

Une sorte d’insistance répète une seconde fois ces paroles dans la chanson, bien qu’elles ne soient pas le refrain.

Ces paroles sont sexistes.
Elles font du tort aux hommes, et aux femmes aussi.
Les paroles disent "les hommes" (pas "des hommes", mais "LES hommes"). Elles incriminent (à tort) tous les hommes sans exception.
Les paroles accusent et culpabilisent seulement les hommes, faisant silence sur les actes des femmes concernées, les "maîtresses", pourtant présentes dans les paroles, et donc aussi fautives et coupables que les hommes.
De telles paroles propagent une mauvaise idée sur les hommes, seuls stigmatisés, et qui (selon ces paroles) seraient tous et toujours empressés de tromper.
De telles idées sont malheureusement courantes dans le monde actuel. Elles se perpétuent et touchent les plus jeunes personnes. Des jeunes femmes ont cette idée des hommes. Des jeunes hommes en pensent que les hommes se comportent ainsi, que ce serait donc banal, et qu'ils devraient le faire aussi.
Ainsi, dans cet exemple, de telles paroles peuvent produire ce qu'elles prétendent dénoncer.
Ne vous laissez pas induire en erreur.
Ce n’est pas ainsi. Ce n’est pas banal.
Ne le faites pas.
Ne soyez pas "maîtresses". Ne prenez pas "maîtresses".

Je ne cite pas le titre de la chanson, ni le nom de la parolière (parolier, parolière : personne qui a écrit un texte lyrique ou une chanson), parce que je ne veux jamais stigmatiser une personne ou plusieurs, mais écrire sur des sujets de société.
De plus, je ne sais quelles étaient les motivations de cette parolière. Peut-être s’agissait-il de maladresse. Peut-être regretterait-elle cette éventuelle maladresse aujourd’hui. Peut-être était-elle elle-même sous l’emprise d’un prétendu "féminisme" propagateur de mauvaises idées, fausses et sexistes envers les hommes. Etc.

Cette chanson est du début des années 1980. Quarante-trois ans plus tard, il y a quelques semaines, deux femmes m’ont tenu un semblable discours.
Partant du commandement biblique (Exode, chap. 20, v. 12 ou 13, selon les éditions) :
לא תנאף
"Ne commets pas d’adultère"
Elles m’ont dit : "les hommes sont plus infidèles que les femmes".
Je leur ai clairement dit que de tels propos sont sexistes, et j'ai ajouté :
"Ils trompent avec qui, les hommes infidèles ? Ils ne sont pas tous homosexuels.
Ils trompent avec des femmes. Alors, on ne peut dire que les hommes sont plus infidèles que les femmes."
Elles ne m’ont pas répondu. Elles ont eu la volonté de comprendre. J’espère et je pense qu'elles ont bien compris. Je les en félicite. Je les en remercie. Car, d’autres personnes auraient pu rétorquer, et rétorquer encore, et diriger la conversation dans une voie sans issue.

Ce qui précède n’est qu’un exemple, un parmi d’autres, hélas. En l'occurrence, il représente une caractéristique très répandue, qui montre les femmes en innocentes, jamais en faute, même pas pour une petite partie ou des torts partagés. Elles seraient même victimes des hommes, ces derniers étant les "méchants", les "machos", les fautifs, les coupables, et seuls fautifs et coupables.
Bien des idées fallacieuses font du mal.
Je le répète, de telles idées, de tels propos, se perpétuent, se propagent, augmentent, et augmentent le mal, envers les hommes, envers les femmes, et vice-versa.
Cet exemple et d'autres cas se présentent souvent sous le nom d'une prétendue cause "féministe". Mais ce n'est pas du "féminisme". C'est du sexisme.



5 février 2023.

Il me semble important de m’exprimer clairement sur ce qui est appelé aujourd'hui le "féminisme".

Lorsque le "féminisme" est la défense de droits et principes dont les femmes ont été ou sont encore spoliées, (par exemple : défendre le principe à "travail égal, salaire égal", qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme) alors, pour de tels cas, je suis "féministe".

Lorsque le "féminisme" prend abusivement des apparences de victime, présente constamment les femmes en sempiternelles victimes, dans des cas où elles ne le sont pas vraiment, ou pas plus que les hommes, ou si elles se présentent fallacieusement en victimes des "méchants hommes" toujours coupables, seuls coupables, et coupables de tout, etc. alors, je ne suis pas "féministe".

Lorsque le "féminisme" est lui-même sexiste, consciemment ou sans même l’avoir compris, lorsque des hommes sont écartés d’associations, ou d’emplois, car il en existe qui, de fait, ne regroupent que des femmes ou une majorité de femmes, alors j’y vois du sexisme favorisant les femmes, et/ou contre les hommes, alors, je ne suis pas "féministe".
(Par exemple, il m’est arrivé de voir des agences de voyage, ou immobilières, une étude notariale, des associations, qui ne comptent que des femmes, et cette volonté est parfois explicitement exprimée).

Lorsque le "féminisme" est de la misandrie (ou androphobie), soit de l’aversion, du mépris ou de la haine à l’égard du genre masculin, alors je suis anti "féministe" et anti "féminisme".

Lorsque le "féminisme" se veut et/ou se dit "suprémaciste" ("girl power", par exemple, et entre autres slogans et idées), alors je suis anti "féministe", anti "féminisme suprémaciste".
("Girl power" parfois écrit "grl pwr", ou "girls power" : littéralement "pouvoir des filles", revendiquant le "pouvoir aux femmes").
"Féminisme suprémaciste" est parfois explicitement exprimé ainsi, plus souvent sous le couvert d’un relatif anonymat (dans l’internet, par exemple).

Malheureusement, je regrette de devoir le répéter à propos de plusieurs domaines et sujets : la confusion règne. Ce sujet du "féminisme" n’y échappe pas.
Ces quelques aspects, que j’ai discernés ci-avant, ne le sont pas les uns des autres dans la vie courante et les propos. Tous peuvent se trouver dans la confusion qui est appelée ou prétendue "féminisme".
Mais, ce n’est pas du "féminisme". C’est très souvent du sexisme, qui n’en a pas toujours l’air, ou pas toujours conscience.
La confusion règne aussi parce que certaines personnes utilisent cette confusion, pour mieux amener d’autres personnes à leurs idées, des idées prétendues "cause".
Pour certaines personnes, le féminisme est leur religion. Comme les religions, il y a une idéologie, et une volonté de la répandre. Elle est malheureusement propagée. Le terrain semble plus propice dans le monde dit "occidental", mais ce n'est pas le seul.
Cette propagation est aussi malheureusement perpétuée, transmise de mère en fille, ou plus généralement d’une aînée à de plus jeunes, dès leur jeune âge, lorsqu’elles sont encore malléables. C'est un endoctrinement.

Il ne devrait pas exister de "féminisme". Car, hors du premier cas que j’ai exposé (défense des droits) que voudrait le "féminisme" ou que voudrait-il dire ?
En y réfléchissant, ce serait une volonté de supériorité féminine (soit du "suprémacisme").
Ni féminisme, ni masculinisme. Les deux sont du sexisme. C’est un mal comme le racisme. Il a certaines analogies avec le racisme. A lire ou entendre certains propos, ils semblent vouloir diviser l’humanité, en plusieurs genres dans le cas du féminisme, comme si nous n’étions pas de la même espèce humaine.
Je ne vois aucun bon avenir lorsque sont répandues de telles idées, qui malheureusement prennent racine, se perpétuent, se renforcent, prennent de l’ampleur, de l'importance.

J’avais déjà abordé de tels sujets dans mon roman, "Les Miséreux", écrit il y a plus de vingt ans (écriture commencée en l’an 2000). Comme aujourd’hui, l’écriture se basait sur l’observation de cas réels.
Mais, le message à comprendre était (et est encore) laissé au discernement des lecteurs et lectrices (les mots "lecteurs" et "lectrices" sont mis dans l’ordre alphabétique. Que le prétendu "féminisme" n’y voit pas une volonté "suprémaciste machiste et patriarcale d’un sale homme qui ne comprend rien aux femmes et qui est l'auteur de ces répugnantes lignes").
Dans mon roman, le message n’était pas assez clairement exprimé. C’est pourquoi je prends la peine de le faire aujourd'hui.

J’aurai l’occasion de revenir sur de tels sujets, exposer des cas concrets.

A l’avenir, lorsque vous lirez, ou entendrez parler de "féminisme", demandez-vous de quoi il s’agit. Et, ne vous sentez pas obligé/e/s d’y adhérer pour faire bonne figure, ou suivre la mode, ou le troupeau.



12 janvier 2023.

"Quand une femme dit non, c’est non."
C’est le slogan actuel.
Quand un homme dit non, c’est pareil. C'est non.
Et il ne faut pas le traiter de tous les noms, ni lui jeter des propos désobligeants, des insultes, des jugements de valeur, des jugements sur sa personne, etc. ni devenir hystérique, et j’en oublie, et j’en passe (surtout sur le lot d'injures souvent entendues à tort et à travers, "macho" en tête de liste).
Et, les hommes toujours fautifs, fautifs de tout, et seuls fautifs, j’en ai assez aussi.
J’aurai l’occasion de revenir sur de tels sujets.

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