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Euthanasie
et avortement, que dit l'israélisme ? (L'israélisme est la foi et la religion d'Israël) |
Les extraits qui sont en cette page et d'autres pages du site sont issus d'un vaste travail, partiellement publié, qui est une étude des commandements (en plus du livre "La Bible Plus Justement"). Il est important de lire les références bibliques citées, sans quoi rien de bon ne peut être compris. L'étude n'est pas finalisée. Elle ne le pourrait sans les manuscrits originaux légués par Moïse, voire d'autres complétant les siens. Les écrits de Moïse accompagnaient l'Arche d'Alliance. L'Arche et les écrits ont été perdus. L'humanité ne dispose aujourd'hui que de prétendues copies des écrits de Moïse. Ces copies ont été compilées et transmises par le judaïsme. Ces copies forment le "Pentateuque", une partie de la Bible. Le Pentateuque comporte des erreurs. Il contient aussi des corruptions volontaires (des mythes et légendes) apportées aux textes par le judaïsme. Le judaïsme n'est pas la religion d'Israël, mais une déviance. Il n'existe pas de "peuple juif". La Tora, en français le "Pentateuque", parle de peuple d'Israël, jamais de "peuple juif". "Peuple juif" est une invention du judaïsme, pour se légitimer. Le judaïsme n'est pas la religion d'Israël, mais prétend l'être. "Judaïsme", "juif", et leurs dérivés, sont des termes qui désignent une religion née en Judée (d'où ces termes). Les ancêtres du judaïsme sont les "Pharisiens", soit les adeptes du "pharisaïsme" ou "pharisianisme". Les Pharisiens avaient pour particularité de donner des interprétations aux textes, c'est à dire donner d'autre sens que les sens littéralement écrits. Du pharisaïsme est né ensuite le judaïsme. La méthode interprétative des Pharisiens est encore employée de nos jours par le judaïsme, qui donne souvent des sens inventés. Ce que pratique le judaïsme d'aujourd'hui est souvent exempt de racine ou fondement biblique. Outre cette page et les sujets qui y sont abordés, dans l'ensemble du site les principaux buts recherchés sont : - Démentir les affirmations et pratiques du judaïsme. - Faire connaître et rétablir la Foi d'Israël ou israélisme (cliquez ici pour des bases importantes, cliquez ici pour en savoir davantage). En hébreu, un commandement se dit מצוה une mitsva. Des commandements מצות des mitsvot. |
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La Tora (en français le "Pentateuque", soit le premier livre de la Bible) formule un interdit évident et essentiel pour la sécurité des personnes dans toute société humaine évoluée, civilisée. Cet interdit, et/ou les sanctions encourues, figurent dans les lois de toutes les sociétés du monde. Cet interdit est bien connnu. Il est écrit en : שמות Exode, chapitre XX, verset 13 : לא תרצח "Ne commets point d'homicide" C'est ainsi que se traduiraient au mieux ces mots. Ils furent parfois traduits par "ne tue point". Cette traduction faisait alors questionner certaines personnes à propos des animaux abattus pour être consommés. Or, en hébreu biblique, le verbe utilisé dans cette courte phrase s'emploie pour les êtres humains. Le mot רצח "rétsah" signifie littéralement "homicide". Cet interdit ne porte donc que sur les êtres humains. Les animaux sont en dehors du cadre de cet interdit. Il en est de même en langue française : le mot "homicide" désigne les cas où un être humain est tué, qu'il s'agisse d'un acte volontaire ou involontaire. Un homicide par accident est aussi appelé רצח "rétsah" "homicide". Ainsi, l'interdit לא תרצח "ne commets pas d'homicide" ordonne aussi de ne pas commettre d'homicide par accident (par imprudence, négligence et/ou autres causes). L'élimination de dangers potentiels et la recherche de sécurité doivent être omniprésentes à l'esprit. Parmi les cas d'homicide volontaire se trouve : - L'avortement volontaire (encore appelé interruption volontaire de grossesse ou IVG). C'est un acte "homicide", au sens de la Tora, envers un être humain en devenir, quel que soit le stade de son développement durant la grossesse. NB : ne pas confondre avortement et contraception. La contraception n'est pas concernée par cet interdit. La contraception n'est pas interdite par la Tora. La sujet de la contraception est davantage développé dans une autre page du site : Pour l'étudier, cliquez ici. NB : les cas d'avortement involontaire ne sont pas concernés par cet interdit (puisque involontaire). Ce serait le cas, par exemple, d'une femme dont l'organisme ne peut porter ou retenir une grossesse, et qui avorterait donc naturellement. Dans cet exemple aucun acte "homicide" n'est commis. C'est une mort naturelle et involontaire. Ce n'est donc pas un acte "homicide". Se reporter aussi en partie II ci-dessous : aspects sociaux Parmi les cas d'homicide volontaire se trouve aussi : - L'euthanasie. Définition : - Agir ou s'abstenir d'agir dans le but de provoquer la mort d'une personne. - Acte ou absence d'acte dans le but de provoquer la mort d'une personne. L'action ou acte est parfois dit "euthanasie active". L'absence d'action ou acte est parfois dit "euthanasie passive". Toute "euthanasie" envers un être humain est contraire à cet interdit bien connu (Exode, XX, 13 לא תרצח "Ne commets point d'homicide"). Pourraient encore s'ajouter des mots du Lévitique, chapitre XIX, verset 16 : לא תעמד על דם רעך Littéralement ceux-ci signifient : "ne reste pas debout sur le sang de ton prochain" Cependant, une telle traduction littérale n'a pas de sens intelligible. Il est nécessaire de s'efforcer de comprendre. Ainsi, selon certains traducteurs, cette phrase signifierait : Ce verset, qui comme les autres existe depuis des siècles, semble là pour contrecarrer ce qui est appelé de nos jours "l'euthanasie passive", c'est à dire s'abstenir ou refuser de soigner autrui, afin de laisser mourir cette personne, qu'elle soit d'accord ou non, qu'elle le sache ou non.
NB : ces deux exemples ci-dessus, avortement volontaire et euthanasie, ne constituent pas une liste exhaustive de tout ce qui est "homicide" au sens de la Tora. Partie II : aspects sociaux Concernant les "avortements" ou "interruptions volontaires de grossesse" (ou "IVG", ou encore "IG") : Certains avis, totalement arbitraires, influencés, égarés, infondés, retournés, aberrants, édifiants, sont allés jusqu'à prétendre qu'un embryon humain n'est pas un être vivant. Un embryon est un être vivant. Un embryon humain est non seulement un être vivant, c'est évident, mais c'est aussi un être humain, et, ce, dès la conception ou fécondation. Ce stade embryonnaire n'est que le début d'un processus de développement, qui commence dans le corps d'une mère, puis hors du corps de cette mère. L'ensemble de ce processus durera environ une vingtaine d'années, jusqu'à atteindre l'âge adulte. L'embryon humain est un être humain en devenir, dès le premier instant de la fécondation. Il n'y a pas de stade auquel il pourrait être déclaré "non humain" puis "humain" à un autre stade de la grossesse. C'est un être humain. Le tuer par une dite "interruption volontaire de grossesse" (un avortement volontaire), est un meurtre, un homicide au sens de la Tora (rappel : un homicide est le fait de tuer un être humain). Un "avortement" est aussi un traumatisme moral, psychologique, et aussi physique, dont certaines personnes ne se remettent jamais, des femmes et aussi des hommes qui auraient pu ou voulu être pères (selon chaque cas). Des arguments fallacieux ont été exprimés, qui ont égaré les consciences, égaré les opinions individuelles et les opinions publiques, en prétendant, par exemple et entre autres, qu'un embryon n'a pas de cœur, et qu'on peut alors "l'enlever", ce qui revient à le tuer (cet argument imbécile a été entendu dans le judaïsme, qui, étrangement, est relativement permissif concernant l'avortement, contrairement à d'autres religions). Mais, un embryon, même s'il n'a pas encore de cœur va en avoir un s'il n'est pas "enlevé" comme un parasite. Car, c'est ainsi que sont traités les êtres humains en devenir. Lors d'un "avortement" (acte volontaire) ils sont extraits comme des parasites, comme des indésirables ou nuisibles. C'est inhumain. C'est indigne d'une société humaine. Une société ou une personne qui le pratique n'est ni évoluée, ni civilisée. D'autres arguments fallacieux ont été exprimés par des femmes, poussées par des idées prétendument féministes, des idées ou idéologies qui les ont influencées, manipulées et égarées. Le féminisme est un sujet qui a eu et a encore ses raisons de lutte. Mais, ce qui est dit au nom ou prétexte du féminisme confond (réunit à tort) plusieurs sujets distincts et à distinguer. Malheureusement, la confusion règne. Le féminisme utilise souvent le slogan (en anglais) "my body, my choice", soit "mon corps, mon choix", ce qui veut exprimer un libre choix pour les femmes de disposer de leur corps. Slogan "my body, my choice" en français "mon corps, mon choix", lors d'une manifestation. Mais, il ne s'agit pas de leur corps lors d'un avortement volontaire. Leur corps n'est pas la cible. C'est l'enfant qui est ciblé, pour être tué, extrait et incinéré (selon les états et législations) ou jeté comme une ordure et livré à on ne sait quelle suite. L'argument et le slogan sont fallacieux, et il n'y a rien de féministe dans ces tromperies. Il ne s'agit pas de "leur corps", mais du corps d'un autre être humain, celui de l'embryon ou foetus qu'elles veulent tuer. C'est une tierce personne. La tromperie parle de "my body" "mon corps", le corps de la femme enceinte, mais en occultant le corps et la vie de cette tierce personne qui est l'enfant, en lui reniant même toute son humanité. Celles qui portent cette personne, cet embryon ou foetus ou enfant, n'ont pas de droit de vie et de mort sur cet être humain qu'elles portent. Elles n'ont pas de droit de vie et de mort sur un être humain parce qu'elles le portent. Elles n'ont pas de droit de vie et de mort sur un être humain parce qu'il est devenu "techniquement" ou "mécaniquement" possible, dans l'histoire de l'humanité, de provoquer un avortement (diverses "techniques" monstrueuses ont été employées dans l'histoire de l'humanité, relayées aujourd'hui par ce qui est odieusement appelé "médecine", bien que ce ne soit pas de la médecine). Réponse à "my body, my choice" (en français "mon corps, mon choix"). Ce panneau, fait par des personnes contre l'avortement (auteur inconnu), fait dire à l'enfant "bas les pattes de mon corps". C'est une réponse aux partisan/e/s de l'avortement, car ces derniers/ières emploient le slogan "hands off my body", soit "bas les pattes de mon corps", alors qu'aucune personne anti avortement ne veut les toucher. Au contraire, ce sont elles-mêmes, les femmes pro avortement, qui demandent que l'on touche leur corps, leur intimité, pour que leur grossesse soit avortée. Malgré cette réalité, elles utilisent un argument et slogan disant "ne touchez pas à nos corps". Ce sont pourtant elles qui demandent qu'on les "touche" (pour pratiquer l'avortement). Ces mots "hands off my body" de la part des pro avortement sont adressés à des personnes politiques, des personnes politiques qui veulent qu'on ne touche plus les femmes pour les faire avorter. Les pro avortement emploient donc cet argument totalement inversé, à l'envers de la vérité et fallacieux. Ce qui est écrit "get your fucking hands off our bodies" ne peut se traduire littéralement. Une adaptation de ces mots serait "retirez vos putains de mains de nos corps", voulant exprimer aussi "gardez vos putains de mains hors de nos corps". Ce sont des mots de manifestant/e/s pro avortement. Ils s'adressent aux personnes politiques et anti avortement. Pourtant, personnes politiques et anti avortement ne veulent pas toucher aux femmes. Au contraire personnes politiques et anti avortement veulent qu'on ne touche plus aux femmes pour les faire avorter. Les inversions et mises à l'envers des réalités sont souvent présentes dans l'idéologie prétendument féministe et son argumentaire. Sous prétexte de défendre leur corps, le corps des femmes, les pro avortement ne défendent pas leur corps, mais l'avortement. Défendre l'avortement est tout le contraire de la défense du corps des femmes. Néanmoins, ces manifestant/e/s prétendent défendre le corps des femmes. Le culte du corps féminin, la religion du corps féminin, la référence au corps féminin, comme adoré et sacralisé, mais aussi, et paradoxalement, l'emploi du corps féminin, employé parfois dénudé pour manifester, employé comme un objet matériel, sont des pensées, arguments et comportements omniprésents dans les manifestations et l'idéologie prétendument féministes. Un avortement volontaire est une agression du corps. C'est une agression invasive et violente envers le corps (et bien sûr envers l'enfant). Les femmes qui veulent vraiment défendre "leur corps" ("my body"), et selon "leur choix" ("my choice"), n'abandonnent pas leur corps au traumatisme physique d'un avortement volontaire et ses conséquences éventuelles, voire irreversibles. Car, rien n'est certain. Des promesses ou garanties que "tout se passera bien" peuvent en réalité conduire à toute autre chose. Certains "praticiens" ou "praticiennes" peuvent faire silence sur les risques, ou se tromper, et promettre, par mensonge ou erreur, que des grossesses suivantes seront possibles alors qu'il pourrait ne pas en être ainsi. Ces "praticiens" et "praticiennes" ne sont pas des dieux ni Dieu. Ces personnes sont capables d'erreur, de mensonge, de mensonge par dissimulation ou omission volontaire et coupable. Dans le cas de l'erreur, ils/elles peuvent aussi dire qu'il n'y aura plus de grossesse possible après un avortement (selon les cas). Pourtant, malgré une telle annonce, des femmes ont pu avoir une nouvelle grossesse (selon les cas), en être surprises à cause de l'erreur du "praticien" ou de la "praticienne", et ces femmes ont pu mener à terme cette grossesse inattendue et enfanter un bébé en parfaite santé. La parole de ces "praticiens" et "praticiennes" n'est pas une certitude. Ils ne sont pas infaillibles, ni dans leurs "connaissances", ni dans les gestes et actes qu'ils pratiquent, ni pour toujours et sans jamais faillir. Qui prétendrait le contraire ferait preuve de stupidité, d'arrogance, ou encore de mensonge. Certaines femmes ne se remettent jamais d'un avortement volontaire. Physiquement, certaines perdent toute possibilité de nouvelle grossesse (selon les cas), et certaines en souffrent psychologiquement (selon les cas). Psychologiquement, même si elles ont pu avoir d'autres grossesses non "avortées", certaines femmes souffrent durant des années, voire tout le reste de leur vie, pour un avortement fait dans le passé. Elles peuvent en souffrir tout en niant cette souffrance, tout en se convaincant en se mentant à elles-mêmes, sous l'influence d'idées fallacieuses qui les ont égarées et qui, peut-être, les dominent encore. De telles idées, de telles négations, ne sont pas du féminisme. Au contraire elles causent des souffrances aux femmes, aux hommes, à la société. Panneaux de manifestant/e/s pro avortement. Le panneau à fond rose prétend que l'avortement serait un "droit de l'homme" ("droit de l'humain" ou "droit de l'humanité"). L'enfant, son existence, sa vie, son être, son humanité, son droit, tout est nié, et occulté, pour ne laisser que la volonté d'avorter, et des énormités servies en arguments. La vie est un "droit de l'homme" (droit de l'humain, hommes et femmes). La mort et le meurtre d'humains par d'autres humains, prétendument au nom du féminisme ou de la défense des femmes, ou encore "droit des femmes", ne peut être un "droit de l'humain". Un "droit des femmes" pour tuer des humains ne peut être un droit de l'humain. Le panneau à fond noir prétend que l'avortement serait un "soin de santé". La grossesse n'est pourtant pas une maladie. Et, pour rappel, un avortement est une violente agression envers deux corps, celui de la femme et celui de l'enfant (cf. ce qui précède). Ces arguments inversés au point d'être grotesques sont pourtant très répandus, populaires, et malheureusement crus par les personnes qui les utilisent. Elles en sont convaicues autant qu'aveuglées, parfois jusqu'à être devenues incapables de penser autrement. Autre exemple de manifestant/e/s pro avortement. Cette bannière prétend aussi que l'avortement serait un "soin de santé". Cet argument aussi fallacieux que d'autres est souvent présent, employé et cru par un grand nombre de personnes sous influence. Pour rappel : la grossesse n'est pas une maladie, et un avortement est une violente agression envers deux corps, celui de la femme et celui de l'enfant. (Cf. ce qui précède). Une société évoluée, civilisée, doit apporter assistance aux femmes et à l'enfant, permettre aux femmes d'enfanter dans les meilleures conditions possibles, et prendre en charge les difficultés qui se posent. Aider les femmes correspond au féminisme. Les enfoncer dans des traumatismes, voire des drames familiaux, éventuellement avec le père de l'enfant, d'autres personnes de l'entourage familial, etc. ce n'est pas du féminisme. Ce qui est prétendu "féminisme" actuellement se trompe et trompe le monde depuis des décennies. Ce qui est prétendu "féminisme" actuellement a totalement évincé les pères, à qui plus aucun droit n'est reconnu. C'est ainsi fait sous le même prétexte fallacieux "my body, my choice", soit "only me", c'est à dire "mon seul choix", le seul choix de la femme, le seul choix des femmes, et aucun droit, ni parole ni avis, aux pères des enfants. Tous les autres droits ont été reniés, déniés, et balayés, notamment le droit naturel à la vie et de la vie, et aussi le droit de l'enfant, et sans accorder de "droit des hommes" puisqu'un "droit des femmes" est inventé, revendiqué, accordé et défendu. Un droit digne d'être ainsi nommé est pour toutes les personnes, hommes et femmes, sans faire une telle distinction entre hommes et femmes à l'intérieur de l'espèce humaine. Un "droit des femmes", excluant les hommes et les enfants, n'est pas un droit. Qu'un tel principe de "droit des femmes" ait pu exister est même incroyable. C'est pourtant une réalité de l'histoire de l'humanité. Une telle éviction des hommes, un tel clivage entre hommes et femmes, tel que le prône ce qui est prétendu "féminisme" en excluant tout droit aux hommes, n'est pas du féminisme. C'est de la misandrie (ou androphobie, soit l'aversion ou haine à l'égard des hommes). Malheureusement, ce qui est prétendu "féminisme" actuellement a mélangé plusieurs sujets et idéologies, dont la misandrie, le sexisme contre les hommes, que peu de personnes perçoivent, et qu'encore moins de personnes dénoncent. Pourtant ce sexisme androphobe (ou misandre) s'exerce, et s'exprime souvent, s'exprime même davantage que le sexisme misogyne dont l'expression est vite réprimée. La misandrie n'est pas du féminisme. C'est un mal aussi intolérable que la misogynie et le racisme. Ce pseudo "féminisme" est néfaste pour une société. Le sujet du "féminisme" est aussi abordé en une autre page de ce site internet. Pour l'étudier, cliquez ici. Panneaux de manifestant/e/s pro avortement. L'image avec le panneau "my body, my choice" montre des manifestantes qui crient. Cris et colère (stimulus collectif), voire hystérie, sont souvent présents lors de manifestations ou lors de l'expression de revendications par de prétendues féministes. L'image avec le panneau "mon corps, mon choix" montre un cintre fait de fil de fer. Ce panneau veut dire que l'interdiction de l'avortement serait un retour à des "techniques" abortives comme il y en eut dans le passé lors d'avortements illégaux et clandestins (presque toujours faits par des femmes sur d'autres). Des pratiques monstrueuses employaient alors, par exemple, des aiguilles à tricoter pour tuer l'enfant, ou du fil de fer, éventuellement crochu. Ce panneau avec un cintre, ne dit pas, ne rappelle pas que ces "techniques" (avec aiguille, ou fil de fer, etc.) étaient illégales, interdites. Celles qui s'y adonnaient, en "praticiennes" ou en "clientes", le savaient, et rien ne les obligeait à pratiquer ou à subir ces horreurs. Des femmes en sont mortes, des enfants aussi. Rien n'obligeait à pratiquer de telles monstruosités, sinon peut-être l'argent pour les personnes qui pratiquaient les avortements clandestins et qui se faisaient payer. Ces personnes profitaient de la détresse des femmes enceintes. NB : en cette page, la détresse de certains cas n'est pas niée. Mais, on ne tue pas au nom de la détresse ou sous ce prétexte. A la détresse une réponse humaine et sociale doit être trouvée, et apportée. De l'aide sociale aux femmes enceintes, mais pas une réponse par les meurtres d'enfants. Les femmes enceintes (grossesses dites "non désirées") subissaient aussi l'influence, voire la pression d'autres femmes, parfois leurs propres mères qui exerçaient encore leur autorité et poussaient de jeunes femmes à avorter alors qu'elles auraient voulu garder leur enfant. Sinon des mères, des femmes en influençaient d'autres et les poussaient à avorter clandestinement. Elles recommandaient des "connaissances", elles rassuraient fallacieusement en disant qu'elles avaient elles-mêmes subi un avortement, et que "tout se passerait bien", comme si tous les cas étaient identiques. Etc. De nos jours encore, beaucoup de femmes prennent publiquement la parole pour faire une sorte de "promotion" de l'avortement, et incitent les autres femmes à faire de même. C'est parfois fait pour se débarrasser d'un sentiment de honte que ces femmes ne s'avouent pas. Ainsi suivies par d'autres femmes, elles se sentent moins isolées. Elles croient échapper ainsi au remord qu'elles dissimulent ou répriment. Ce panneau avec un cintre menace de revenir à cette époque, ces pratiques. Mais, y revenir serait du choix de celles (et/ou ceux) qui s'y adonneraient avec volonté. Or, on ne peut se livrer, de choix, à de telles horreurs, et s'en plaindre comme dans ce panneau. Les contradictions des pro avortement et/ou "féministes" sont plurielles. C'est dans cette confusion que des idées prétendument féministes ont exercé une pression sociale, devenue pression politique, à laquelle des personnes politiques, démagogiques par nécessité pour être élues, ont cédé. Ces personnes politiques ont été elles-mêmes, elles aussi, influencées, trompées et convaincues. Elles ont ainsi accordé le droit de tuer. La confusion a aussi imbriqué tous les cas, toutes les causes, les viols, les avortements dits "économiques" ou "de confort social" (pour ne pas assumer les dépenses que causerait la venue d'un enfant), les adolescentes enceintes (outre le viol), les avortements dits "par détresse sociale" (personnes démunies de moyens financiers suffisants), etc., tous les cas ont été mélangés, sans distinction, et tout a été traité en un seul ensemble, sans distinction, pour ne conduire qu'à une seule solution, sans distinction, et au nom de toutes les femmes, sans distinction non plus, et au nom d'un prétendu "droit des femmes". La seule solution retenue n'a été que l'avortement, pour tous les cas, sans distinction, sur la seule décision des femmes, sans aucun droit pour les hommes, même pas de droit à la moindre parole, même en tant que pères, parce qu'ils ne seraient pas des femmes, pas porteurs des enfants, et que ce ne serait pas "leur corps" (slogan "my body"). Les femmes portent les enfants, c'est un fait naturel qui existe depuis qu'existe l'humanité. Cela ne leur donne pas de droit de vie et de mort (sauf cas particuliers, où, par exemple, une femme serait en danger du fait de sa grossesse. Ce sont les principes qui sont les sujets en cette page). Ce fait naturel n'est pas un choix, certainement pas un choix "politique" ou "démocratique". C'est ainsi, nul n'en est "coupable" ou "responsable". Ce ne doit pas être un sujet de vengence envers les hommes ni envers les enfants, que certaines femmes ne veulent plus porter, au nom de "leur corps", au nom du "féminisme". Un "féminisme" qui renie la féminité des femmes n'est pas du féminisme. Le féminisme doit être la défense des femmes lorsqu'il y a injustice (par exemple, et entre autres principes à défendre, à travail égal salaire égal, pour les femmes comme pour les hommes). Une société, une situation, qui exclut une partie, une moitié de son humanité (les hommes), et qui tue des êtres humains, n'est certainement pas une société évoluée, ni civilisée. C'est une société sauvage, cruelle, inqualifiable pour un tel manque d'humanité. En certains cas, en certaines législations, le droit de tuer a permis les avortements jusqu'à neuf mois de grossesse. Deux organismes mondiaux (OMS et ONU) ont même, l'un préconisé et l'autre soutenu, que l'avortement puisse être pratiqué en toutes circonstances, sans limitation dans le temps de la grossesse, et sans nécessité médicale, sous prétexte de protéger le "droit des femmes". Une telle prise de position n'a rien à voir avec la médecine ou la santé, et outrepasse le cadre de ces organismes, qui auraient même exercé une pression afin que les législations n'empêchent plus les femmes d'avorter volontairement à n'importe quel moment de la grossesse. De tels organismes ne devraient pas exercer une influence ou pression pour des décisions qui sont du domaine politique, éthique et religieux. A neuf mois de grossesse, il ne s'agit plus d'un embryon, mais d'un enfant totalement constitué et prêt à naître. Même les arguments les plus arbitraires, les plus contestables, les plus imbéciles, prônant la possibilité de le tuer (sous prétexte de développement incomplet, par exemple), ne tiennent plus et n'ont aucun soutient à ce stade de la grossesse. A neuf mois de grossesse, cet enfant qui pourrait naître est un être humain viable et encore en devenir. Comment seraient ou sont tués des enfants à neuf mois de grossesse (si cela se pratique déjà) ? Comment meurent-ils ? Que deviennent leurs corps ? De telles réponses sont rarement fournies clairement, et la cruauté de telles images l'est encore moins. Une telle préconisation, à fortiori émanant de tels organimes, est monstrueuse, scandaleuse, révoltante. Comme souligné prédédement, la seule solution retenue n'a été que l'avortement, et il a été jusqu'à ce jour (juin 2022) pratiqué en masse. Cette tuerie de masse a causé des milliers ou millions de victimes humaines, volontairement et légalement tuées par ce qui est prétendu être de la "médecine". Ce massacre est semblable à un crime contre l'humanité. Un avortement volontaire, quel que soit le stade du développement de l'enfant, est un meurtre, un homicide. D'autres réponses et solutions auraient pu être apportées, et peuvent l'être encore. Ce sont, par exemple et avant tout, la contraception, l'éducation des adolescents et adolescentes, des adultes, la sensibilisation aux sentiments, au couple, des aides sociales, etc. (liste non exhaustive). Concernant la contraception : Il y a quelques décennies, la contraception n'existait pas encore, ou n'était pas légale, ou pas répandue. Mais, de nos jours, plusieurs moyens contraceptifs existent, ils sont légaux, répandus, économiquement accessibles dans les pays riches, et même dans un grand nombre de pays moins riches ou pauvres (selon les états, les politiques et les moyens fournis pour aider la contraception). Du fait de l'existence et l'accessibilité des moyens contraceptifs, le nombre des avortements dans le monde aurait pu et dû être bien plus faible. Or, il n'en fut pas ainsi. Quelques rares personnes politiques ont eu le courage de dire que l'avortement a été employé, et l'est encore, comme un moyen contraceptif (NB : l'avortement n'est pas un moyen contraceptif). Parmi ces rares personnes politiques, certaines ont aussi abordé le coût financier pour les états qui prennent en charge le coût des avortements, un coût financier énormément plus élevé que celui de la contraception. Enfin, certaines de ces (rares) personnes politiques ont aussi abordé les coûts des avortements en général, et aussi les coûts des avortements jugés "abusifs" (par absence de contraception, mal employée ou négligée), des coûts remboursés par les assurances sociales et d'autres assurances (privées, mutuelles, etc.), des coûts qui seront donc répercutés à l'ensemble de la société, alors que d'autres personnes ont des difficultés financières et se privent de suivi médical et de soins parce qu'ils coûteraient cher. Malheureusement, à cause d'une dose de démagogie nécessaire à toute personne politique, les rares personnes qui ont abordé et soulignés ces aspects économiques et sociaux ont toutes été obligées de faire silence ou revenir sur leurs déclarations, sur ces aspects pourtant réels, à cause d'une pression populaire attachée à l'avortement. La contraception aurait dû être la réponse des organismes internantionaux (OMS, ONU) qui ont au contraire prôné l'avortement. Les aspects économiques et sociaux ci-dessus auraient dû inciter ces organismes et les états à éduquer davantage sur la contraception (selon les pays), permettre une accessibilité économique (pays pauvres), inciter à ne plus employer l'avortement (certaines personnes politiques ont proposé de ne plus rembourser les frais d'avortement par les assurances sociales). Concernant le couple, les sentiments, le couple (hétérosexuel), l'entente et la paix du couple n'ont pas fait partie des idées pseudo féministes qui ont influencé les sociétés et les législations. Au contraire, certaines idées prétendument féministes, comme celles autour de l'avortement, du seul choix des femmes et sans droit aux hommes, ont mis le feu au couple hétérosexuel, l'ont détruit. Or, le féminisme n'est pas la mort du couple et l'éviction de sa moitié naturelle masculine. Les idées prétendument féministes qui haïssent, méprisent, ou évincent, etc. la moitié masculine ne sont pas du féminisme. Elles sont, encore une fois, de la misandrie (ou androphobie). Une société humaine et évoluée n'a pas de telles idées et législations. Une société humaine, civilisée, évoluée et équilibrée, ne dépouille pas de droits sa partie masculine, et n'a pas de droits exclusifs pour sa partie féminine, tel un "droit des femmes", termes si souvent employés. Il n'est pas possible de parler "d'égalité des sexes", "d'égalité des droits", dans une telle situation. C'est pourtant la réalité des sociétés qui se croient, se disent "modernes", "évoluées", "démocratiques", alors qu'elles ne sont même pas civilisées, parce qu'elles tuent leurs propres enfants, en ayant donné le "droit" de le faire. Tout droit évolué, civilisé, bien pensé, doit avoir pensé à tous, et s'être efforcé d'être juste ou le plus juste possible envers tous, y compris la personne la plus faible, celle la plus démunie de toutes, soit l'enfant. Il n'y a pas de démocratie alors que l'enfant n'a aucun droit, sinon celui de mourir si sa mère en a décidé ainsi, seule et de "son droit", "droit des femmes". Le "droit des femmes" à tuer est abject, rebutant, écoeurant, répugnant. Il n'y a pas non plus de démocratie alors que la partie masculine de la population n'a pas les mêmes droits, ou pas de droit, sinon celui de subir et se taire. Une telle situation pourrait s'apparenter à un "apartheid" (régime politique et législatif raciste qui a distingué la population noire et la population blanche, défavorisant les Noirs). L'apartheid était un régime raciste. Le "droit des femmes" et aucun pour les hommes est un régime d'apartheid sexiste. Un régime qui prétend tuer légalement des enfants est infâme, exécrable. Autres panneaux de manifestant/e/s pro avortement. Le panneau où est écrit "hands off my body" utilise ce slogan des pro avortement, slogan fallacieux et à l'envers de la réalité (cf. explications après le dessin représentant un enfant répondant lui aussi "hands off my body"). Ce slogan des pro avortement est fallacieux. Il est à l'envers de la vérité, parce que, pour rappel, les personnes anti avortement ne veulent pas toucher aux femmes. Les anti avortements veulent qu'on ne touche plus aux femmes pour pratiquer un avortement. Le panneau "no country for old men" est plus rare. Littéralement ces mots se traduiraient par "pas de pays pour les vieux hommes". Ce panneau singulier fait peut-être référence à un titre de film (sorti en 2007, titré "no country for old men"), ce titre étant lui-même tiré d'un poème (de William Butler Yeats, poète et dramaturge irlandais, 1865-1939). Mais, ni le poème, ni le film (du genre policier) n'ont de rapport avec l'avortement volontaire ou le "féminisme". Ces mots sont donc difficilement compréhensibles en ce contexte. Ce panneau semble vouloir évincer les "vieux hommes" de tout pays, donc en faire des apatrides, voire les évincer de la planète (puisque "pas de pays"), soit leur nier tout droit, y compris droit à l'existence. Les termes "old men" semblent vouloir désigner des idées et idéaux jugés "vieux jeu". Sous des aspects semblant libertaires, les pro avortements refusent et nient tout droit aux autres personnes qui ont des idées opposées. C'est une forme de totalitarisme qui ne dit pas ce nom "totalitarisme". Le point commun à ces deux panneaux, est l'utilisation de l'appareil génital féminin (vagin, utérus, trompes, ovaires). Il est souvent représenté et utilisé par les pro avortements et les prétendus féministes, comme en ces panneaux et dans les slogans. L'on retrouve de manière omniprésente cette adoration, voire religion du corps féminin et ses attributs, comme déjà précisé précédemment. Si un ou des hommes employaient de mêmes arguments ou représentations du corps et attributs masculins, ils seraient aussitôt traités de "machos" de nos jours. Le terme de "phallocrate" était plus employé que "macho" dans les années 1970-1980 (de "phallo" en grec ou "phallus" en latin, le pénis). Ce culte de la féminité, ses aspects androphobes, voire une volonté de domination féminine (volonté qui ne s'avoue pas toujours), pourrait être nommé "mamocratie" (néologisme) (de "mamelle", du latin "mammula"). La confusion des idées, le féminisme, mais aussi des idées présentées comme féministes qui sont de l'androphobie (ou misandrie), augmentée du culte du corps féminin, etc. a aussi inclus des idées anti religieuses envers les dites "grandes religions". Car, dans ces "grandes religions" se trouvent des opposants à l'avortement. Ainsi, ce qui est prétendu "féminisme" et présenté comme tel, est davantage un règlement de compte avec les dites "grandes religions". Une autre raison d'opposition prétendument féministe est présentée comme une "lutte contre le patriarcat". Les "grandes religions" sont toutes accusées d'être à l'origine du "patriarcat", de même que des hommes politiques, des systèmes politiques, inspirés des "religions". Le "patriarcat" selon ce qui est prétendu "féminisme" serait la domination masculine. Le mot "patriarcat" est pour le moins un mot mal choisi. "Patriarcat" vient du mot "patriarche", soit le "père". Il n'en existe que trois principaux dans les dites "grandes religions". Ce sont Abraham, Isaac, Jacob-Israël. Ils sont nommés patriarches, notamment Jacob-Israël, parce qu'il fut le père des Israélites (d'où leur nom, Israélites, soit les descendants d'Israël). Mais, il n'y a que peu de rapport entre les patriarches et ce qui est prétendu fémimisme qui entend combattre le "patriarcat". Toutes ces sources de confusion et toutes ces confusions ont été comme fusionnées dans un creuset qui aurait produit une sorte d'alliage nommé "féminisme", présenté comme tel, et défendant entre autres sujets l'avortement, sans disctinction des sujets, sans discernement. Cet entrelas d'idées et idéologies est donc difficile à dénouer. Son influence s'exerce et manipule les esprits, les personnes, leurs décisions, notamment à propos d'avortement. Les nouvelles générations en sont imprégnées par les aînées, et répandent elles aussi les mêmes idées, et les renforcent. Qui ne les partage pas est ostracisé. Concernant la dite "euthanasie" : Comme pour les avortements (sujet ci-dessus), une société ne peut se prétendre humaine, civilisée ou évoluée, alors qu'elle rend légale et/ou pratique "l'euthanasie", qu'il s'agisse d'euthanasie dite "active" ou "passive" comme entendu de nos jours. Comme pour l'avortement, des arguments pour le moins douteux, voire fallacieux, ont été employés, tel le "droit à la dignité, le "droit à mourir dignement", etc. Mais, ni l'âge ni la perte de ses moyens intellectuels ou physiques n'est "indigne". Dignité ou indignité ne sont que perceptions de l'esprit, lui-même étant sous une influence purement et totalement culturelle. Un nourisson, totalement démuni de moyens intellectuels et physiques est-il "indigne" ? Faudrait-il les tuer tous au nom de la "dignité" ? Il n'y aurait plus d'humanité, sinon le dernier assassin. Des arguments comme la "dignité" ont influencé et orienté de prétendus débats, prétendument "éthiques", invitant des "philosophes", dont les réflexions et propos partent souvent dans tous les sens, en citant de précédents "philosophes" et en se justifiant par eux. Les sociétés dites "occidentales" sont toujours sous l'influence de l'antiquité gréco-romaine de laquelle provient la "philosophie" et les "philosophes". Les Romains ont colonisé l'Europe (entre autres territoires) et y ont implanté leur culture. Des siècles après la chute de l'empire romain celui-ci subsiste dans les sociétés "occidentales" qui l'ont perpétué, avec force et volonté, sans jamais s'émanciper de cet ancien colonisateur et occupant, sans jamais développer mieux. C'est ainsi que les "philosophes" sont toujours conviés à des débats dits "éthiques", et pour les décisions qui en découlent. Pourtant, les Romains ne manquaient pas de sauvageries, à commencer par le cirque et ses jeux d'une intolérable cruauté, dépourvus d'"éthique" et de "philosophie" humaines. La conquête romaine, l'occupation des terres, la domination exercée, les pillages, les tributs exigés, etc. ont été commis avec une violence impitoyable, et parfois conduite par des pensées ou recommandations de "philosophes". Il en était de même dans le monde grec. Alexandre le Grand (356-323 AEC), roi de Macédoine, qui n'a pas manqué de perpétuer des guerres sanglantes et conquêtes, était l'élève d'Aristote, "philosophe" toujours grandement louangé par le monde occidental de nos jours. Aristote fut le précepteur d'Alexandre le Grand, à qui il transmit ses pensées "philosophiques" helléniques, qui devinrent hellénistiques avec les violentes conquêtes aux ardeurs aussi expansionistes concernant la culture grecque. S'il a transmis la "philosophie", Aristote n'a pas transmis la philanthropie à son célèbre élève, rendu célèbre et encore célébré par le monde "occidental". A sa mort, Aristote fut oublié durant des siècles. Le monde occidental l'a comme exhumé (vers le 12ème siècle EC) et mis sur un piédestal, ainsi que la "philosophie" en général. Bien que mort, Aristote et la "philosophie" en général ont grandement influencé la culture, la pensée et aussi la théologie du monde occidental. Cet état de faits est encore très présent et prééminent de nos jours. Ainsi pense encore le monde occidental, comme dans la cruelle antiquité, tout en se croyant "moderne". Le terme "euthanasie" est lui-même d'origine grecque. A l'inverse des "philosophes", les guides religieux, pourtant si influents dans le monde, ne sont que rarement, voire jamais, conviés, ni même consultés à propos de décisions dites "éthiques", comme le "droit à l'euthanasie". Si leur avis avait été pris et considéré, il n'y aurait pas d'euthanasie, ni débat sur la question, ni question (cf. ce qui précède. Pour rappel, une rare unanimité théologique rassemble les dites "trois grandes religions"). En réalité, sous la dissimulation de "débats", et prétendus "éthiques", la décision d'autoriser "l'euthanasie" était déjà prise et exprimée (selon les pays). Les débats et les "philosophes" ont surtout servi à justifier la décision, à lui donner un semblant de légitimité. Le public en a été crédule, et subsiste sous cette influence. Parmi les raisons de cette décision, l'on ne peut nier les raisons économiques, les coûts hospitaliers pris en charge par des familles ou des budgets d'états, etc. Le droit de tuer, la dite "euthanasie", a donc été légalisée (autorisée légalement) dans de telles conditions, dans l'hypocrisie, sous prétexte de "dignité", avec parfois aussi, pour certaines familles, l'éventuelle perspective d'un héritage et pouvoir en disposer. Nier ces faits est nier des réalités. Dans ce cas encore, comme pour l'avortement (sujet ci-dessus) la personne la plus faible, la personne âgée et/ou malade, a été mise à la merci d'autres (famille ou "corps médical") qui ont reçu le droit de décider de sa vie ou sa mort, et le droit de "l'euthanasier", pour être plus clair : la tuer. En d'autres cas, c'est la personne âgée et/ou malade qui a elle-même exprimé ce souhait d'euthanasie, cette décision. Mais, l'on ne peut ignorer qu'une telle décision a été prise sous l'inflence d'arguments culturels, comme la "dignité" (cf. ce qui précède), et dont l'argumentaire et l'acceptation peuvent être pour le moins douteux et/ou difficilement admissibles (selon les époques, les cultures, et les influences qui ont orienté, plutôt désorienté, les pensées et décisions). En plus de l'influence d'arguments culturels (comme la "dignité"), l'influence des religions a autant désorienté les personnes âgées, malages, les familles, et les décisions. De nombreuses personnes parcourent les hôpitaux, officiellement ou officieusement, dissimulées ou non, avec des buts religieux et/ou prosélytes. Ces personnes promettent un "paradis", auquel croient les personnes en état de faiblesse et les familles. La décision des personnes est donc prise sous cette influence de plus (outre celles exposées précédemment). Pour rappel, l'euthanasie est un acte homicide interdit par les dites "trois grandes religions". Mais, la perspective d'un "paradis", et certaines prêches religieuses, influencent les décisions. Au contraire de la position officielle des dites "trois grandes religions", certains prêcheurs, pour ne pas dire charlatans religieux, prônent, eux, l'euthanasie dite "passive", voire l'euthanasie dite "active", en prétendant en plus que l'euthanasie serait un acte d'amour. L'argument de l'amour sert à tout, et tout le monde s'en sert, le manipule, y compris, bien sûr, les charlatans. Une société ne peut se croire ou se dire "évoluée" ni "civilisée" alors qu'elle se "débarrasse" de ses personnes âgées et/ou malades par un acte homicide (dit "actif" ou "passif", comme l'on tente d'en faire la distinction). Nier ces faits est nier des réalités. La personne âgée et/ou malade, en état de faiblesse, doit être protégée au mieux possible. Quant à sa maladie et sa souffrance, elles sont du domaine de la médecine (lire ce qui suit). Concernant la médecine : Malheureusement, le rôle et le cadre de la médecine n'ont pas été vraiment définis et délimités. Ainsi, par exemple, parce qu'ils ont des connaissances anatomiques et "médicales", en certains cas l'on fait appel à un médecin ou "spécialiste" (médical) pour établir un certificat de virginité. Mais, ce n'est pas de la médecine, parce que la virginité n'est pas une maladie. Les "médecins" ou "spécialistes" n'ont pas à y répondre. Pourtant ils le font, et parfois mensongèrement (mais c'est un autre sujet). Dans les sociétés actuelles, l'on fait aussi appel à la médecine pour les avortements. Mais, ce n'est pas de la médecine, parce que la grossesse n'est pas une maladie (hors cas particuliers qui nécessitent l'avortement, pour, par exemple, sauver la vie de la mère). Dans les sociétés actuelles, l'on fait aussi appel à la médecine pour tuer des êtres humains, les "euthanasier" selon le terme employé. Mais, ce n'est pas de la médecine, parce que tuer n'est pas de la médecine. Malheureusement, le rôle et le cadre de la médecine n'ont pas été définis et délimités aux soins autant que possible, et au soulagement des douleurs, autant que possible. Si une telle simple et claire définition et une telle délimitation avaient été exprimées, incluses dans les législations, d'interminables débats fallacieux n'auraient pas eu lieu pour dissimuler d'inhumaines intentions de se débarrasser de personnes devenues indésirables, gênantes, comme les personnes âgées et/ou malades, et les enfants non désirés (avortements durant la grossesse). Ainsi, des sociétés se "débarrassent" des leurs personnes les plus faibles, qui ne rapportent rien à l'économie, qui, au contraire, sont coûteuses. Cette dernière observation est aussi une réalité. La réalité est indéniable. La confusion a régné et règne encore dans la médecine. C'est ainsi qu'on lui a fait faire et que l'on lui fait faire encore (hélas) des actes qui ne sont pas de la médecine, des actes homicides. L'on ne peut nier, non plus, l'aspect économique que recherchent certains "médecins" ou "spécialistes" ou "praticiens". Le nier est nier une réalité. Une telle recherche de profit n'est pas de la médecine. Aucune médecine digne d'être ainsi nommée n’œuvre pour tuer. Les rôles de la médecine sont soigner et soulager les douleurs, l'un et l'autre à la mesure des moyens possibles. Tuer n'est pas de la médecine. Références bibliques : - Pour les cas d'homicide volontaire : Exode XXI 12 ; Exode XXI 14 ; Exode XXI 20 ; Nombres XXXV 30 ; Nombres XXXV 31 ; Deutéronome XIX 02-03. - Pour les cas d'homicide involontaire : Exode XXI 20 ; Nombres XXXV 22-25 ; Nombres XXXV 25 ; Nombres XXXV 32 ; Deutéronome XIX 02-03. Retour au sommaire des études |
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